Vous trouverez tous les enregistrements vidéos et audios des prestations des candidats du Concours Reine Elisabeth sur le site du Concours Reine Elisabeth.


Concours Reine Elisabeth 2024, session violon :
des candidats d’un niveau exceptionnel.

Revivez le concours en son et en images sur le site du Concours Reine Elisabeth


A l’issue des demi-finales du Concours Reine Elisabeth 2024, au nom du jury, Gilles Ledure, Directeur général de Flagey et Président du jury des sessions instrumentales du Concours Reine Elisabeth, remercie l’orchestre : « Nous avons été impatients de nous adresser à l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie tant 𝗹𝗮 𝗽𝗿𝗲𝘀𝘁𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗹’𝗼𝗿𝗰𝗵𝗲𝘀𝘁𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗱𝗲 𝘀𝗼𝗻 𝗞𝗼𝗻𝘇𝗲𝗿𝘁𝗺𝗲𝗶𝘀𝘁𝗲𝗿 𝗝𝗲𝗮𝗻-𝗙𝗿é𝗱é𝗿𝗶𝗰 𝗠𝗼𝗹𝗮𝗿𝗱 𝗮 é𝘁é 𝗱𝗲 𝗴𝗿𝗮𝗻𝗱𝗲 𝗾𝘂𝗮𝗹𝗶𝘁é, impatients de dire à 𝗰𝗵𝗮𝗾𝘂𝗲 𝗺𝘂𝘀𝗶𝗰𝗶𝗲𝗻, qu’il soit du quatuor – et aussi la contrebasse, bien entendu -, ou corniste, ou hautboïste, à quel point 𝘀𝗼𝗻 𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗲𝘁 𝘀𝗼𝗻 𝘀𝗼𝘂𝘁𝗶𝗲𝗻 à 𝗰𝗵𝗮𝗾𝘂𝗲 𝗰𝗮𝗻𝗱𝗶𝗱𝗮𝘁 𝗮 é𝘁é 𝗽𝗿é𝗰𝗶𝗲𝘂𝘀𝗲 𝗲𝘁 𝗲𝘀𝘀𝗲𝗻𝘁𝗶𝗲𝗹𝗹𝗲 : 𝘂𝗻 𝘃é𝗿𝗶𝘁𝗮𝗯𝗹𝗲 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗱𝗲 𝗰𝗼𝗺𝗽𝗮𝗴𝗻𝗼𝗻𝗻𝗮𝗴𝗲. Ce travail n’aurait évidemment pas pu se réaliser sans 𝗹𝗮 𝗱𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗽𝗿é𝗰𝗶𝘀𝗲, 𝗰𝗵𝗮𝗹𝗲𝘂𝗿𝗲𝘂𝘀𝗲, 𝗴é𝗻é𝗿𝗲𝘂𝘀𝗲 𝗲𝘁 𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝘁𝗲 à 𝘁𝗮𝗻𝘁 𝗱’𝗲𝘀𝘁𝗵é𝘁𝗶𝗾𝘂𝗲𝘀 𝗱𝗶𝗳𝗳é𝗿𝗲𝗻𝘁𝗲𝘀 𝗱𝗲 𝗠𝗮î𝘁𝗿𝗲 𝗩𝗮𝗵𝗮𝗻 𝗠𝗮𝗿𝗱𝗶𝗿𝗼𝘀𝘀𝗶𝗮𝗻. En un mot, félicitations et merci de tout coeur pour cette semaine d’un grand bonheur musical ».

Sur la scène de Flagey, Sa Majesté la Reine Mathilde de Belgique pose avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et son Directeur Musical et Chef d’orchestre Vahan Mardirossian.


 

 

(…) En demi-finale, les candidats présentaient un récital de leur choix, et un concerto de Mozart accompagné par !’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie. Et ce dernier peut devenir une réelle épreuve du feu, devenant parfois discriminant. C’est là l’impact incontestable du travail du chef Vahan Mardirossian qui est parvenu à offrir à chaque candidat le climat et l’influx exacts qu’appelait sa démarche (…)

Le Soir, Serge Martin – Gaëlle Moury, 21/05/24


« Dans un concours, un chef doit suivre et non diriger»

« J’ai l’impression que l’orchestre
joue un peu mieux chaque jour.
Oh, des nuances parfois infimes, mais qui dénotent d’un avancement dans l’intimité qui nous unit »

Vahan Mardirossian dirige l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie depuis janvier 2020. C’est sa deuxième prestation lors des demi-finales du Concours Reine Elisabeth et tout le monde s’accorde à dire, comme l’a souligné Gilles Ledure, président du jury dans ses remerciements de samedi soir, que l’orchestre et son chef ont signé une prestation remarquable, généreuse et attentive (…)

Le Soir, S. M., 21/05/24


Concours Reine Elisabeth 2022 – Session violoncelle

Revivez les demi-finales du Concours Reine Elisabeth 2022 – Session violoncelle

Relive the semi-finals of the Cello 2022 – Queen Elisabeth Competition:


 

 

Incroyable, cette fraîcheur de l’ORCW ! En introduisant pour la 13e fois cette semaine le 2e concerto (en ré majeur) de Haydn, le voilà tout guilleret, adoptant un tempo idéal d’allant et d’élégance pour accueillir la Coréenne Sul Yoon, 26 ans (…)

(…) et le finale, donné en liaison fusionnelle – et simultanée – avec le premier violon, le chef et tout l’orchestre, mènera à un état d’euphorie indescriptible, emportant toute la salle en un monde favorable et inconnu, follement joyeux. On était bien au-delà de la musique. Et on aurait voulu ne jamais en revenir.

___

“It is incredible that they sound so fresh! The ORCW introduced Haydn’s Cello Concerto No. 2 in D major for the 13th time this week, adopting a perfect energetic, yet delicate tempo with good cheer to welcome the 26-year-old Korean, Sul Yoon …

… and the finale, delivered a fused, simultaneous connection between the first violin, the conductor and the full orchestra, building to a state of unimaginable euphoria, transporting the entire audience to a lovely, undiscovered world of wild joy. We were in a place way beyond music. And we would have liked to stay there forever.”

La Libre, Martine D. Mergeay, 22/05/2022


 

 

Le chef Vahan Mardirossian, l’art de la délicatesse.

Une sorte de bonhomie assortie d’une grande délicatesse et d’une manière très fine de s’adapter à chacun des candidats qu’il accompagne : en dirigeant l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, Vahan Mardirossian, directeur musical de l’orchestre depuis janvier 2020 et chef pour ces demi-finales du Concours Reine Elisabeth, a mené cette mission compliquée avec brio (…) J’ai réussi à obtenir une souplesse de l’orchestre qui est exemplaire. Il réagit au quart de seconde, donc au moindre petit changement du soliste.

___

“The conductor Vahan Mardirossian, the art of delicacy

He has a kind of warmth combined with great delicacy and a very astute way of adapting to each of the candidates he conducts. As the Royal Chamber Orchestra of Wallonia’s musical director (in position since January 2020) and the conductor for the semi-finals of the Queen Elisabeth Competition, Vahan Mardirossian completed this complicated mission with brilliance. He achieved exemplary flexibility in the orchestra, reacting instantly to the slightest change in the soloist’s performance.”

Gabriel Moury, Le Soir, Saturday 21 and Sunday 22 May 2022

Le Soir, Gaëlle Moury, sa 21 et di 22/05/2022


 

 

(…) Une fois de plus, on ne peut qu’admirer la souplesse et l’agilité avec laquelle le chef arménien Vahan Mardirossian adapte sa direction aux intentions de chaque candidat (…)

___

“… Once again, you can have nothing but admiration for the flexibility and agility with which the Armenian conductor Vahan Mardirossian adapts his direction of the orchestra to suit the intentions of each candidate …”

Le Soir, Serge Martin, 20/05/22


(….) Un dialogue excellent avec l’orchestre
(…) Dans le passé, elle a déjà pu se produire avec cet orchestre qui fait partie de l’élite musicale ….
___

“… Excellent dialogue with the orchestra

… Before now, she has already performed with this orchestra, which forms part of the musical elite …”

De Standaard, Jasper Croonen, 20/05/2022


L’interview de bord de scène de Samuel Niederhauser, demi-finaliste

Concours Reine Elisabeth – Demi-finale
Interview Vincent Delbushaye
01:03

  • Nous avons répété (avec l’orchestre) hier matin, et une petite répétition aujourd’hui. Je suis très impressionné par la réactivité, la flexibilité de cet orchestre, parce que nous n’avons pas eu besoin de répéter quelque chose, il me suivait.  C’était formidable.


L’interview bord de scène de Jeremias Fliedl, demi-finaliste

Concours Reine Elisabeth – Demi-finale
Interview Vincent Delbushaye
01:08

  • Quelle est la qualité que vous pourriez donner à l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et à son chef Vahan Mardirossian ?
  • Nous avons répété ensemble hier et je me suis immédiatement senti comme « à la maison ». Tout le monde était si gentil, et c’était une joie de jouer ensemble. Ce sont des musiciens très sensibles. Alors, j’ai pu faire toutes les choses que je voulais parce que c’est de la musique de chambre, qui est sensée être jouée ensemble, et j’avais le sentiment que je pourrais en fait le faire avec cet orchestre et ce chef.
  • Voilà, c’est un orchestre qui peut vraiment vous suivre là où vous allez, partout où vous allez. Une seule répétition, vous imaginez, et il s’est tout de suite senti à la maison. C’est évidemment de la musique de chambre, c’est sensé être joué ensemble, et il a vraiment eu l’impression qu’il pouvait les emmener partout et qu’il serait suivi partout où il irait.


L’interview bord de scène d’Erica Piccotti, demi-finaliste

Concours Reine Elisabeth – Demi-finale
Interview Vincent Delbushaye
00:14

  • Comment vous êtes-vous sentie sur scène ce soir ?
  • Je me suis sentie d’abord à l’aise. C’était agréable de jouer avec l’orchestre. Ils jouent vraiment très bien et le public était très chaleureux. Alors, je ne me suis pas sentie trop stressée, mais plutôt en mode concert, et j’ai beaucoup apprécié.


 

Puisque vous avez du talent

MUSIQ3  Classique, 22/05/2022
Réalisation et présentation : Laurent Graulus et Gwenn Lucas

Interview de Vahan Mardirossian, Directeur musical et chef d’orchestre, d’Anne Pingen, altiste, et de Jean-Frédéric Molard, Concertmeister

  • Je faisais remarquer qu’il y avait autant de concertos de Haydn que de violonistes présents
  • Anne Pingen : C’est ça qui fait la richesse de l’oeuvre, c’est ça qui fait qu’elle est toujours contemporaine puisqu’elle est toujours revisitée d’une manière ou d’une autre. Sans quoi ce serait terriblement lassant. Je trouve qu’ici, on en entend des versions très différenciées et qui ont toutes leur intérêt. Et je pense qu’il n’y en a aucune à négliger.
  • En même temps, pour vous, c’est important d’épouser l’esthétique que quelqu’un vous propose, même si ce n’est pas complètement la vôtre ?
  • Anne Pingen : Que ce soit la nôtre ou pas n’a aucune importance, en réalité. On n’est là pour les aider, pour jouer avec eux d’abord. Il est évident que quelque fois, on est plus porté vers telle ou telle manière de jouer, mais c’est tout à fait secondaire par rapport à notre fonction ici.
  • Ce qui est très beau dans un petit ensemble comme cet Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, c’est que Vahan Mardirossian me disait que parfois vous lui donniez des idées. Il disait « Tiens, je ne l’ai pas eue. Je la prends ». Jean-Frédéric, vous pouvez nous expliquer? On n’imagine pas ça dans un grand symphonique avec 100 musiciens., qu’un maestro se laisse influencer.
  • Jean-Frédéric Molard : Dans un symphonique, ce serait vite l’anarchie avec le nombre de musiciens qui’ il peut y avoir. Ici, on n’est quand même vraiment à mi-chemin avec la musique de chambre. Et donc, on a parfois de vrais relations, de vrais échanges de chambristes, comme on pourrait avoir dans un quintette avec clavier, Vahan Mardirossian étant pianiste, et on échangerait sur telle nuance, tel ralenti, tel coup d’archet. Vahan ne connaissant pas vraiment les cordes au niveau des coups d’archet, on peut donner aussi notre avis sur les impulsions qu’il veut donner et la manière dont on peut y arriver. Et c’est vrai que c’est un vrai échange de chambriste.
  • Qui dit partie concerto dit accompagnement de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et de son chef Vahan Mardirossian. Je suis allé ile rencontrer pour discuter avec lui de son rôle et de cette responsabilité qui lui incombe de diriger ces 24 demi-finalistes.
  • Vahan Mardirossian : La responsabilité est énorme. Et je dis chaque fois aux candidats que je rencontre avant le concours « Attention, il ne faut pas que ce soit vous qui nous suiviez, il faut que ce soit moi qui vous suive, ça, c’est la première règle. Si jamais j’ai une petite défaillance, que je ne prends pas le bon tempo qui est le vôtre, changez le tout de suite, on va s’adapter assez rapidement. Deuxièmement, on a un petit quart d’heure de rencontre avant la répétition avec le soliste. Pendant ce temps-là, on essaie de voir les petits endroits dangereux, de quelle manière il les aborde, etc. Et ensuite, le reste se fait pendant les répétitions en écoutant. Parce qu’il est vrai que 24 candidats qui jouent  2 concertos… on va avoir 24 versions différentes de ce concerto, et il faut que nous soyons extrêmement souples, qu’à la seconde on réagisse et qu’on devine ce qu’il va faire par la suite. Parce que c’est vrai que pour eux, c’est très bien de répéter, mais pour l’orchestre, en fait, entre le moment où l’on répète et le lendemain où l’on joue, on a répété avec 4 autres candidats. Toutes les versions sont mélangées dans nos têtes. Donc, on est en train d’improviser, entre guillemets, en écoutant, en essayant de se rappeler. Et puis, j’ai quelques petites marques, j’ai une partition par candidat, ça, ça vous facilite la tâche. Et je fais quelques marques par rapport à ma propre compréhension de l’oeuvre, je marque « plus lent », « plus vite », etc, juste pour essayer de comprendre que moi j’auras pris ce tempo-là … alors je marque que ce candidat joue un peu plus vite par rapport à ce que moi j’aurais fait. Donc, comme ça, j’arrive à peu près à trouver son tempo.

L’interview bord de scène de Petar Pejčić, demi-finaliste

Concours Reine Elisabeth – Demi-finale
Interview Vincent Delbushaye
00:20

  • Comment vous êtes-vous senti sur scène ce soir ?
  • Vraiment très bien, je dois dire, parce que la musique de Haydn en elle-même invite à la joie et le fait que l’orchestre soit fantastique, le chef, la salle, le public… l’ambiance était spéciale, et je pouvais réellement me « détendre » et apprécier la musique. Je me sentais bien, je dois dire..


 

« (…) introduit avec art par l’ORCW placé sous la direction de Vahan Mardirossian. »

___

“… deftly introduced by the ORCW under the direction of Vahan Mardirossian.”

La Libre, Martine D. Mergeay, 17/05/2022


 

 

« Vision alternative et cohérente, et soutenue comme tel par un orchestre en état de grâce. »
___

“An alternative and coherent vision, which was fully supported by this unstoppable orchestra.”

La Libre, Martine D. Mergeay, 17/05/2022


 

« (…) la légèreté répond bien à la direction de Vahan Mardirossian, qui emmène l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie avec bonhommie. »

« (…) une grâce à laquelle répond l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie de manière harmonieuse »

___

“… the lightness works well under the direction of Vahan Mardirossian, who leads the Royal Chamber Orchestra of Wallonia with bonhomie.”

“… a grace to which the Royal Chamber Orchestra of Wallonia responds harmoniously.”

Le Soir, Gaëlle Moury, 16/05/2022


L’ORCW s’entraîne pour le marathon du Reine Elisabeth

La première épreuve du concours Reine Elisabeth est en cours actuellement. Des 64 violoncellistes, il n’en restera plus que 24 pour les demi finales. Des jeunes musiciens qui seront alors accompagnés par l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie dès ce lundi . Ce matin, l’ORCW répétait les 2 oeuvres imposées aux solistes de la demi-finale.

Télé MBReportage V. Peeters – A. Bardez, 13/05/2022


Une première pour le chef Vahan Mardirossian, une dernière pour l’altiste Anne Pingen.

Ultime répétition à Mons ce vendredi avant le Reine Elisabeth, un des plus grands concours musicaux au monde! Depuis 21 ans, l’ORCW en accompagne les demi-finales.

SUDINFO, La Province, C.T., 14/05/2022


Concours Reine Elisabeth 2021 / Session piano

Braley et Mozart à Saint-Ghislain
« Du 10 au 15 mai l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie accompagnera les 12 demi-finalistes du Reine Elizabeth. Cela fait 20 ans que l’ensemble montois participe à ces concours, un des cinq  les plus importants au monde. A la baguette: Franck Braley, ex- directeur musical,   mais aussi lauréat de ce même concours, il y a juste 30 ans. Particularité: Les répétitions se déroulent au Foyer Culturel de Saint Ghislain, et ce pour respecter les mesures sanitaires ».
Télé MB, 5 mai 2021


Concours Reine Elisabeth : l‘Orchestre Royal de Chambre de Wallonie répète
« Les musiciens répètent à Saint-Ghislain dans le respect des règles sanitaires imposées par l’épidémie de Covid-19. L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie accompagnera les pianistes en lice pour l’édition 2021 du Concours Reine Elisabeth »
RTL TVI, Les infos, 06/05/2021- 13 h, reportage Julien Crête


Concours Reine Elisabeth : l‘Orchestre Royal de Chambre de Wallonie répète
« Les musiciens répètent à Saint-Ghislain dans le respect des règles sanitaires imposées par l’épidémie de Covid-19. L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie accompagnera les pianistes en lice pour l’édition 2021 du Concours Reine Elisabeth. »
RTL TVI, Les infos, 06/05/2021- 19 h, reportage Julien Crête


L’ORCW répète à Saint-Ghislain avant le concours Reine Elisabeth

L’ORCW, basé au jardin du Mayeur à Mons, accompagnera la semaine prochaine les douze demi-finalistes du concours Reine Elisabeth à Bruxelles. Mais pourquoi les musiciens répètent-ils à Saint-Ghislain ? « Nous avions besoin d’un grand espace pour répéter avec 30 musiciens », nous répondent en coeur Régine Henriette, chargée des relations publiques, et Laurent Fack, directeur général de l’ORCW. « Vu les conditions actuelles, faire répéter 30 musiciens était impossible en nos locaux. Les musiciens doivent être strictement écartés d’au moins 1m50 et nous n’aurions pu travailler qu’avec 17 musiciens. Nous avons cherché diverses salles pour répéter et finalement c’est Jérémy Bricq, échevin à Saint-Ghislain, qui nous a proposé ce foyer culturel où la distanciation est possible ».
La Province, Patrick Tierce, 07/05/2021


Concours Reine Elisabeth, Valentine Jongen de la chaine Youtube Val so Classic


La UneConcours Reine Elisabeth : Frank Braley gagnait le premier prix il y a tout juste 30 ans.
Frank Braley, premier prix du Concours Reine Elisabeth en 1991, dirige l’ORCW et soutient les demi-finalistes lors de leur interprétation d’un concerto de Mozart. Il sait très bien ce que peuvent ressentir les candidats, lui qui est passé par là il y a tout juste 30 ans.
RTBF, JT 19h30, 10/05/2021 – Reportage S. Heinderyckx, B. Daumerie, M. Desnoyers, C. Valentinelli, B. Leroy


 

 

« Un candidat très expressif, très investi, comme il l’avait déjà démontré lors de la première épreuve, qui a proposé un Concerto n°17 en sol majeur de Mozart dans un vrai dialogue avec !’Orchestre de Chambre de Wallonie, dirigé par Frank Braley. »

Le Soir / Culture, 11/05/2021, Gaëlle Moury


 

 

« Malgré les regards complices et un vrai dialogue avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie dirigé par Frank Braley (…) »

Le Soir / Culture, 12 et 13/05/2021, Gaëlle Moury

 

 


« Pour l’ORCW, c’est une longue histoire d’amour avec le Concours Musical international Reine Elisabeth. « Nous avons le bonheur d’être systématiquement réinvités depuis 20 ans pour les sessions violon, piano ou violoncelle », dament nos deux interlocuteurs. « Depuis 1991, nous sommes sélectionnés pour les demi-finales. Chaque année, n’importe quel orchestre de chambre international pourrait prendre notre place, mais malgré la concurrence internationale, nous sommes toujours pris et nous en sommes fiers ! » (….) le Concours Reine Elisabeth est sans doute l’un des plus prestigieux concours au monde – oui, soyons chauvins ! – Créé  en 1937, il attire les meilleurs jeunes musiciens du monde qui se sont déjà illustrés lors d’autres concours. Le remporter, c’est s’assurer une brillante carrière internationale à l’image de Frank Braley, qui a remporté ce concours en 1991 et dirigera l’ORCW pour les demi-finales du 10 au 15 mai prochain ».

Vlan, Patrick Tierce, 12/05/2021


 

 

 » L’introduction de l’orchestre est joliment enlevée et accueille avec naturel le jeu très doux du soliste, doux mais lumineux, perlé et propulsé par une clarté agogique du meilleur effet sur les échanges avec l’orchestre. L’adagio, très  lent, sera mené dans ses sonorités plus douces encore, et au comme dans une réminiscence lointaine et douloureuse, option soutenue avec tact par le chef et ses musiçiens, »

« Après l’introduction orchestrale, vive et pimpante (…)

La Libre Belgique, Martine Dumont-Mergeay, 14/05/2021


Interview de Laurent Fack
Klara (VRT)Lut Van der Eycken15/05/2021


 

 

 

« Tempo idéal, transparence de l’orchestre (…) »

La Libre Belgique, Martine Dumont-Mergeay, 15 et 16/05/2021


 

 

 

« L’entente avec Frank Braley et l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie est excellente, et les musiciens nous offrent ensemble un des sommets mozartiens de la semaine. Et, tout simplement, un vrai, beau moment de musique. »

La Libre Belgique, Nicolas Blanmont, 16/05/2021


« Laurent Graulus et Gwenn Lucas sont revenus sur les meilleurs moments de la demi-finale de l’ édition « piano » 2021.

Pendant deux heures, les deux chroniqueurs vous ont proposé de nombreux extraits musicaux, mais aussi des interviews de Gilles Ledure, président du Jury, et du pianiste français François-Frédéric Guy, et de Jean-Claude Vanden Eynden, membres du Jury.

La dimension concertante n’était pas en reste, puisque Laurent Graulus avait également rencontré Frank Braley, le pianiste et chef de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, ainsi que des musiciens de cette formation qui avaient accompagné chacun des 12 demi-finalistes dans 5 des 27 Concertos pour piano de Mozart.

 

Cette session « piano » 2021 qui est, -on le sait-, résolument exceptionnelle, à plus d’un titre ! D’abord, parce qu’elle aurait dû avoir lieu il y a un an.

Ensuite, parce que suite aux restrictions sanitaires, cette session se tient à huis-clos (photo), de la 1ère épreuve jusqu’à la finale. Mais également, et ce toujours pour les mêmes raisons, parce que le nombre de candidats en demi-finale et en finale a été divisé par deux.

Pour la 1ère fois aussi depuis très longtemps, le contingent sud-coréen était constitué d’une seule représentante Su Yeon Kim, qui était aussi l’unique femme présente à cette demi-finale.

La finale sera, on le déplore, exclusivement masculine, puisque la jeune Sud-Coréenne n’a pas été retenue parmi les 6 finalistes.

Bonne écoute ! »

Réalisation : Laurent GRAULUS
Présentation : Gwenn LUCAS et Laurent GRAULUS
Prises de son musicales : Katia MADAULE et Bertrand VANVAREMBERGH
Réalisation technique : Antoine DUWAERTS



Concours Reine Elisabeth 2019 : une belle session

Après avoir accompagné 24 concertos en 6 jours, l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et Jean-Jacques Kantorow reçoivent les félicitations du jury et les applaudissements du public.

"Majesté, Mesdames et Messieurs,

Au nom des membres du jury, j'ai le plaisir de remercier les musiciens de l'Orchestre Royal de Chambre de Wallonie sous la direction inspirée de Jean-Jacques Kantorow.
Nous avons particulièrement apprécié votre générosité, votre attention et votre travail avec chacun des candidats à ce stade de leur carrière musicale.
De tout coeur, merci"

Gilles Ledure,
Président du jury du Concours Reine Elisabeth
Directeur Général de Flagey

Les membres du jury du Concours Reine Elisabeth 2019


Sa Majesté la reine Mathilde s’entretient avec les musiciens de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et le chef d’orchestre Jean-Jacques Kantorow après le dernier concerto de Mozart des demi-finales.

Photos © Bruno Vessiez


« Chapeau à l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, c’est exceptionnel »
Jean-Jacques Kantorow a dirigé l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie lors des demi-finales du Concours Reine Elisabeth 2019. Au micro de Camille De Rijck, à l’issue du dernier concert, il livre ses impressions sur l’ORCW.


L’orchestre, épreuve de vérité pour les candidats du Concours Reine Elisabeth

Au fur et à mesure des étapes, les violonistes sont accompagnés d’un orchestre. Rencontre avec Jean-Jacques Kantorow, le chef d’orchestre qui a accompagné les demi-finalistes.

Il accompagne les candidats de manière à la fois chaleureuse et douce, comme s’il s’effaçait pour les laisser briller totalement. Lors des demi-finales du Concours Reine Elisabeth, Jean-Jacques Kantorow dirigeait l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie dans les Concertos de Mozart, parmi lesquels les violonistes en lice devaient faire un choix. Un travail crucial, qui implique d’être entouré de musiciens solides et capables de s’adapter très rapidement. « Le r61e de l’orchestre dans ce genre d’épreuve, c’est de mettre les candidats au défi », explique Kantorow, lui-même violoniste émérite. « Ça montre aussi aux membres du jury les candidats qui sont déjà armés pour faire carrière car dans une salle, avec un orchestre quel qu’il soit, il faut jouer plus que ce qui est écrit sur une partition. Il faut savoir rajouter une nuance pour la spécificité de la salle et du concerto (…)

A l’appui et à l’impulsion
Le travail avec l’orchestre est en fait assez complexe (…) « C’est un travail extrêmement difficile, dans le sens où il y a un nombre limité d’œuvres. Il y a très peu de temps de répétition – beaucoup moins que lorsqu’on se trouve dans la configuration concert, où en plus il n’y a qu’une seule version de l’œuvre. Et il ne faut pas seulement un orchestre qui joue bien. Il doit aussi être capable de suivre à la lettre, à la (micro-)seconde le candidat qui est en train de jouer. En fait, ce n’est pas simplement accompagner. A partir du moment où on accompagne, on est derrière, on est démotivé. Mais l’orchestre se doit d’être inspirant pour le candidat. Le candidat va définir son idée, son concept de l’œuvre, c’est-à-dire son tempo, ses idées musicales, ses prises de risque, mais après, l’orchestre se doit, avec 1es éléments dont il est en possession après la répétition, de l’inspirer pour lui donner la carrure, l’assise et la confiance dont il a besoin pour jouer. C’est là aussi que les membres du jury peuvent juger. Car ils vont juger du candidat qui est capable d’écouter l’orchestre, de faire de la musique de chambre, c’est-à-dire de s’inspirer de ce que fait l’orchestre pour être lui-même motivé.  » Inspirer le candidat, mais aussi… le soutenir et limiter la casse dans le cas où il commettrait une erreur. »

Le Soir +, Gaëlle Moury, 16/05/2019


2017 : Un Concours Reine Elisabeth exceptionnel

Depuis 2001, l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie accompagne les 24 demi-finalistes du Concours Reine Elisabeth.
2017 : pour la toute première fois de son histoire, le Concours Reine Elisabeth s’ouvre au violoncelle ! La RTBF (La TroisMusiq’3, rtbf.auvio.bertbf.be/reineelisabethet la VRT (CanvasKetnetKlara , canvas.bevous ont proposé cette épreuve en direct en télévision, en radio et sur le Net.

MUSIQ3_RVB_15La_Trois_PNG

rtbf-auvio-logo web

RTBF-be

 


Sa Majesté la Reine Mathilde et l'Orchestre Royal de Chamùbre de wallonie, 20 mai 2017 © Laurent Fack

Sa Majesté la Reine Mathilde et l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, 20 mai 2017 © Laurent Fack

Concours Reine Elisabeth : un parcours sans faute

Il faut insister une fois encore sur la qualité du travail de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et de son directeur musical Frank Braley : s’ils n’avaient apparemment que deux concertos de Haydn à jouer en alternance cette semaine (treize fois le ré majeur, onze fois l’ut majeur), les Montois ont réussi en réalité à jouer vingt-quatre concertos différents, tant ils ont voulu et su s’adapter aux spécificités (tempi, dynamiques, leadership ou non) de chacun des vingt-quatre demi-finalistes.

L’ORCW qui, les années précédentes, avait parfois pu sembler de niveau inégal, a incontestablement bénéficié du fait d’être dirigé non plus par des chefs invités (aussi talentueux soient-ils) mais par son directeur musical. Un directeur musical qui sait de quoi il s’agit puisqu’il a lui-même remporté le Concours en 1991. (Lire l’article)

La Libre.be, Nicolas Blanmont, 22/05/2017


Concours Reine Elisabeth : Formidable Haydn du Biélorusse Ivan Karizna

C’est à un tempo particulièrement soutenu que Frank Braley et l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie – qui seront quelques minutes plus tard ovationnés par un Studio 4 debout, Reine Mathilde comprise – attaquent l’introduction du désormais familier concerto en ut majeur de Haydn.  (Lire l’article)

La Libre.be, Nicolas Blanmont, 20/05/2017


 


RTBF-beDemi-finale du Concours Reine Elisabeth 2017 : un écho des prestations du mercredi 17 mai

« Cette session d’Orchestre de ce mercredi se termine par un tonnerre d’applaudissements pour Frank Braley et l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, qui, il faut le rappeler abat un travail phénoménal, avec un raffinement digne des plus grands Orchestres internationaux. » (Lire l’article)

rtbf.be, Laurent Graulus, 18/05/2017


Demi-finales du Concours Reine Elisabeth : Haydn et Braley font leurs débuts

« Vingt-six ans après, Frank Braley est de retour en demi-finales au Concours Reine Elisabeth ! Mais le pianiste français officie cette fois en sa qualité de chef de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, en belle forme pour accompagner les survivants du deuxième tour dans leur concerto de Haydn ou de Boccherini. » (Lire l’article)

La Libre.be, Nicolas Blanmont, 15/05/2017


Demi-finale du Concours Reine Elisabeth : Un joli début de demi-finale avec un ORCW très en forme

« Mais Shiao He a aussi la sobriété qu’on attend dans Haydn: il n’abuse pas du vibrato. Son a1ticulation et son timing sont impeccables: c’est particulièrement marquant dans le 3e mouvement, emmené à vive allure par le chef Frank Braley. Bel équilibre aussi entre l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie (ORCW) et Shia He qui joue souplement, mais qui a aussi sacrément du son ! Un joli début de demi-finale avec un ORCW très en forme, et un beau candidat pour ouvrir cette demi-finale ! (Lire l’article)

MUSIQ3, Laurent Graulus, 15/05/2017

 


RTBF-beComment s’est passé le 2e jour de la Demi-finale à Flagey ?

Tous les jours de cette semaine, Laurent Graulus vous livre un compte rendu de chaque session de la demi-finale du Concours Reine Elisabeth.

« Le 3e mouvement « Allegro molto  » est cette fois respecté à la lettre par l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, dirigé par un Frank Braley très impliqué« . (Lire l’article)

rtbf.be, Laurent Graulus, 17/05/2017


Concours Reine Elisabeth: Yan Lievionnois, la défonce maitrisée

« …les sonorités peinent à s’épanouir et il faut toute l’attention de Frank Braley pour que le lien s’établisse avec l’orchestre (…) des sonorités rondes, douces, modérément vibrées, portées par un orchestre inspiré et fraternel » (Lire l’article)

La Libre.be, Martine Dumont-Mergeay, 17/05/2017


Concours Reine Elisabeth : « Chacun(e) sa Chaconne », c’est prouvé

« Adagio se présente comme un moment de ferveur qui ne mettra que plus en valeur un finale débridé, pris à tombeau ouvert, avec le premier violon et le chef – tous deux au taquet– pour parapet de sécurité »(Lire l’article)

La Libre.be, Martine Dumont-Mergeay, 17/05/2017


Concours Reine Elisabeth: Brahms, Janus à deux têtes

 » …en dépit de belles sonorités (l’instrument est un superbe Riccardo Antoniazzi) et d’une technique assurée, la conduite est flottante, pour ne pas dire molle, en tous cas dénuée d’agogique (contrairement à l’orchestre, et le contraste se remarque clairement). (Lire l’article)

La Libre.be, Martine Dumont-Mergeay, 17/05/2017


Interview de Frank Braley
La TroisCamille De Rijck, 20/05/2017


20 mai 2017. A l’issue des demi-finales du Concours Reine Elisabeth, Camille De Rijck, en direct sur La Trois (RTBF), interview Frank Braley qui a dirigé l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie pour l’audition des 24 demi-finalistes.


Interview de Frank Braley
Klara
,
 Lut Van der Eycken, 15/05/2017

« C’est vraiment un marathon sur toute la semaine, mais l’orchestre a énormément de plaisir à faire cette belle semaine. Et en plus, on a, jusqu’à maintenant, des solistes qui nous inspirent beaucoup (…) c’est très stimulant. Et cela nous oblige à être toujours extrêmement concentrés, parce qu’on ne peut avoir aucun réflexe. Il faut vraiment s’adapter et changer complètement la manière de jouer pour chaque candidat (…) c’est un tel enjeu pour ces jeunes musiciens, et pour l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie qui est là tous les ans mais qui, en même temps, est très attendu parce que c’est une tâche très difficile de jouer toute la semaine (….) Ils jouent magnifiquement bien, je les guide, mais ce sont eux qui jouent, pas moi.

Bonsoir Frank Braley, soyez le bienvenu.

  • F.B. : Merci à vous.

Merci de nous accorder cet interview

  • F.B. : Voilà, juste quelques minutes après être sorti de cette très belle et très longue journée.

Oui, c’est une tâche énorme, immense que vous faites cette semaine-ci, vous et votre orchestre.

  • F.B. : Oui, parce que peut-être, ce que le public ne sait pas, c’est que tous les matins nous répétons évidemment avec les 4 solistes qui jouent le lendemain. Donc l’orchestre travaille 4 h le matin, et ensuite 2 concerts, un à 15 h, un à 20 h. C’est vraiment un marathon sur toute la semaine, mais l’orchestre a énormément de plaisir à faire cette belle semaine. Et en plus, on a, jusqu’à maintenant, des solistes qui nous inspirent beaucoup.

Ça se voit et ça s’entend.

  • F.B. : Oui, enfin, ce sont des concerts. Nous, on le prend comme ça. Et étant donné le niveau de ceux que nous avons entendus et accompagnés, ce sont des vrais concerts.

Chaque candidat, évidemment, Frank Braley, veut mettre les accents spécifiques dans son concerto.

  • F.B. : Oui, mais c’est ça qui est très amusant, parce qu’on était un tout petit peu inquiets sachant qu’on allait jouer une douzaine de chaque concerto, puisque il n’y a que 2 personnes qui ont pris le Boccherini. On s’attendait à ce que tout le monde joue très vite, voilà, pour montrer ses muscles. Et pas du tout. On a vraiment des candidats très différents, des personnalités très marquées. Parfois, on joue – et c’est ce qui se passera demain – on va jouer dans le concert deux fois le même concerto. Et vous entendrez que c’est tout à fait, tout à fait tout à fait différent. Donc, c’est très stimulant. Et cela nous oblige à être toujours extrêmement concentrés, parce qu’on ne peut avoir aucun réflexe. Il faut vraiment s’adapter et changer complètement la manière de jouer pour chaque candidat.

Vous êtes très lié à ce concours. Vous avez participé, remporté ce concours. Vous avez fait, je crois, deux fois le jury.

  • F.B. : Deux fois le jury. J’étais à cette table qu’on a juste derrière nous, oui, deux fois.

Et toute cette expérience, aide-t-elle… êtes-vous… disons… avez-vous une manière ou l’autre de partager toutes vos expériences avec les candidats ?

  • F.B. : Alors, c’est vrai que je suis moi très, très lié, parce que c’est un concours qui a changé ma vie. Et maintenant depuis un quart de siècle, c’est comme si je faisais partie de la famille du concours. J’ai à peu près tout vu, presqu’à 360°, de ce concours. C’est encore une expérience nouvelle de me retrouver sur scène, mais pas pour jouer du piano. Et, évidemment, je sais bien ce que vivent ces jeunes musiciens, et la tension, et le stress que cela représente. Mais l’enjeu – en plus, c’est une première édition, c’est un concours historique, celui-ci-. Et connaissant ce que c’est d’être à leur place, je mets vraiment toute mon énergie à les soutenir et à vraiment les porter, leur donner les moyens de s’exprimer dans les meilleures meilleures conditions.

Vous êtes passionné, vous êtes engagé. Ce doit être magnifique de pouvoir jouer avec vous.

  • F.B. : Ecoutez, je fais de la musique depuis que je suis né, pour ainsi dire. Et, dans ce contexte, il y a aussi une électricité dans l’air, parce qu’il y a un tel enthousiasme du public aussi. Et puis, c’est un tel enjeu pour ces jeunes musiciens, et pour l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie qui est là tous les ans mais qui, en même temps, est très attendu parce que c’est une tâche très difficile de jouer toute la semaine. On est pas là pour écouter l’orchestre, en fait, l’orchestre est là pour porter les candidats.

Mais quand même !

  • F.B. : Oui, bien sûr. Mais donc, voilà : moi je suis là pour, en même temps, créer cette homogénéité, cette harmonie, donner l’énergie. Et puis, je vais vous faire une confidence : c’est quand même plus facile de diriger que de jouer du piano. Ils jouent magnifiquement bien, je les guide, mais ce sont eux qui jouent, pas moi.

Frank Braley, je vous souhaite encore beaucoup de succès. Merci infiniment.

F.B. : Merci de votre invitation, et belle semaine à vous tous et à tous vos auditeurs.


Interview d’Ondine Simon,
altiste à l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie
La TroisVincent Delbushaye, 20/05/2017

20 mai 2017. A l’issue des demi-finales du Concours Reine Elisabeth, en direct sur La Trois (RTBF), Vincent Delbushaye , en bord de scène, interview Ondine Simon, fraîchement arrivée au pupitre des altos de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie.


Demi-finales du 21 mai 2017 – Victor Julien-Lafferière
Haydn : Concerto n°2 en ré majeur Hob. VIIb:2

RTBF, La Trois


Demi-finales du samedi 20 mai 2017 – Ivan Karizna
Haydn : Concerto n°1 en ut majeur Hob.VIIb:1
RTBF, La Trois


Demi-finales du 17 mai 2017 – Maciej Kulakowski
Haydn : Concerto n° 2 en ré majeur Hob. VIIb:2
RTBF, La Trois


Autour du Concours Reine Elisabeth

Reportages, interviews
Télé MB, JT, 16/05/2017


Pour améliorer la performance des musiciens lors du Concours Reine Elisabeth, des chercheurs de l’unité « Forme et fonctionnement humain » à la Haute école Louvain en Hainaut (HELHa) scrutent les gestes des musiciens et leur proposent des pistes de réflexion pour faciliter leur travail.

Radio France Internationale (RFI), émission « Vous m’en direz des nouvelles » de Jean-François Cadet, reportage de Joana Hostein, 29 mai 2017


Des Kinés entament des recherches sur l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie

RTBF-be« Deux étudiantes en kinésithérapie à la Haute école Louvain en Hainaut (HELHa) ont entamé un travail de recherche sur l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie (ORCW) dans le cadre du Concours Reine Elisabeth. L’objectif est d’évaluer l’impact du concours sur la santé du musicien professionnel, selon un communiqué diffusé lundi.
L’Orchestre royal de chambre de Wallonie accompagne les candidats lors des demi-finales du Concours Reine Elisabeth du 15 au 20 mai, une véritable épreuve d’endurance dans le domaine musical.
Après une première phase d’analyse de leurs mouvements à l’aide de caméras 3D, les deux étudiantes ont effectué des mesures précises sur les musiciens avant le concours. Elles effectueront ces mêmes tests de force et de souplesse après la compétition, a expliqué Mikaël Scohier, docteur en sciences de la motricité ». (Lire l’article)

rtbf.be, d’après Belga, 15/05/2017


Des kinés au chevet du Concours Reine Elisabeth

« Pour l’Orchestre Royal  de Chambre de Wallonie (ORCW() qui devra donc s’exécuter 24 fois jusqu à samedi inclus l exercice met à rude épreuve muscles et tendons Deux étudiantes en kinésithérapie à la Haute école Louvain en Hainaut (HELHa) en ont profité pour lancer un travail de recherche afin d’évaluer l impact du concours sur la santé de ces musiciens professionnels (…) Il s agit donc bien de transposer des techniques éprouvées en milieu professionnel à l ORCW. L’objectif est d évaluer l’impact du concours sur la santé des musiciens et de détecter les douleurs pertes de souplesse de force ou encore de dextérité après une exposition importante, a encore indiqué Mikaël Scohier (docteur en sciences de la motricité). Et de mieux cibler les traitements et les échauffements à prévoir ». (Lire l’article)

L’Echo, d’après Belga, 16/05/2017


Le musicien, cet athlète qui s’ignore

Les musiciens de l’ORCW sont les cobayes d’une étude des chercheurs de la Haute école Louvain en Hainaut (HELHa). Comment l’orchestre qui accompagne les candidats du Concours Reine Élisabeth parvient-il à jouer 6 heures par jour ? Des chercheurs scrutent l’état physique des membres de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie. (Lire l’article)

Le SoirLe Soir Plus, Sandra Durieux, 16/05/2017


Une étude inédite lancée sur la santé des musiciens

« C’est la thématique de la santé du musicien professionnel qui a été ciblée. Ce sujet a la particularité d’être assez peu étudié dans le monde académique si on le compare, par exemple, au cas de la santé des élites sportives, qui sont l’objet de toutes les attentions. Dans le but de permettre à ses musiciens d’exercer leur art tout en minimisant les risques de pathologies associées, l’ORCW dispose déjà d’une kinésithérapeute attitrée depuis plu-sieurs années. Les unités de recherche de la Haute école Louvain en Hainaut (HELHa) possèdent, quant à elles, une réelle expertise dans le domaine de l’évaluation ergonomique, traditionnellement associée au travail en industrie et à des thématiques telles que le bien-être des travailleurs, les risques d’apparition de TMS (Troubles musculo-squelettiques), etc. li s’agit donc bien de transposer des techniques éprouvées en milieu professionnel à l’ORCW. Afin d’objectiver l’évaluation ergonomique, la collaboration du FFH avec le Cerisic s’est révélée fructueuse: il s’agit en effet d’utiliser des nouvelles techniques comme des caméras 3D pour aider l’ergonome à affiner son diagnostic ». (Lire l’article)

La Dernière Heure / Les Sports, C.Ti , 16/05/2017


Depuis 2001, l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie accompagne les 24 demi-finalistes du Concours Reine Elisabeth.


2016 – Session piano

Les demi-finales du prestigieux Concours Reine Elisabeth, consacré cette année au piano, se dérouleront à Flagey, du lundi 9 au samedi 14 mai 2016, à 15 h et à 20 h.
Lors de chaque séance, deux candidats présenteront d’abord un concerto de Mozart (KV 466, KV 467, KV 503 ou KV 537) accompagnés par l’Orchestre royal de Chambre de Wallonie, dirigé par Paul Meyer, et ensuite leur récital ainsi que l’oeuvre inédite imposée, écrite spécialement pour cette session par le Belge Fabian Fiorini : Tears Of Lights.

Infos et tickets :
www.flagey.be – 02/641 10 20 – ticket@flagey.be

La RTBF couvrira largement cet événement :

  • Sur Musiq’3 : en direct (sessions de 15h et de 20h) + proposée en diffusion à l’UER.
    Sur La Trois : sessions de soirée en direct à 19h50, sessions d’après-midi en différé à 23h.
    Sur www.rtbf.be/reineelisabeth : streaming vidéo, interviews, podcasts des prestations, mais aussi les archives de la RTBF sur le Concours !
    Sur auvio.be : streaming vidéo.

MUSIQ3_RVB_15La_Trois_PNG

RTBF-bertbf-auvio-logo web

La_Trois_PNGRevivez les demi-finales des six premiers lauréats du Concours Reine Elisabeth 2016 consacré au piano.

Enregistrement RTBF, La Trois


Lukáš Vondráček
interprète le Concerto n° 21 pour piano et orchestre, en ut majeur, K 467 de Mozart avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie sous la direction de Paul Meyer.
Il a remporté le 1er prix du Concours Reine Elisabeth (Grand Prix International Reine Elisabeth – Prix Reine Mathilde).

Henry Kramer interprète le Concerto n° 25 pour piano et orchestre, en ut majeur, K 503 de Mozart  avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie sous la direction de Paul Meyer.
Il a remporté le 2e prix du Concours Reine Elisabeth (Prix du Gouvernement Fédéral Belge – Prix Arthur De Greef).

Alexander Beyer interprète le Concerto n° 20 pour piano et orchestre, en ré mineur, K 466 de Mozart  avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie sous la direction de Paul Meyer.
Il a remporté le 3e prix du Concours Reine Elisabeth (Prix du Comte de Launoit).

Chi Ho Han interprète le Concerto n° 21 pour piano et orchestre, en ut majeur, K 467 de Mozart avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie sous la direction de Paul Meyer.
Il a remporté le 4e prix du Concours Reine Elisabeth (Prix des Gouvernements communautaires de Belgique, offert cette année par le Gouvernement de la Fédération Wallonie-Bruxelles).

Aljoša Jurinić, interprète le Concerto pour piano et orchestre n°26, en ré majeur, du « Couronnement », K 537  avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie sous la direction de Paul Meyer.
Elle a remporté le 5e prix du Concours Reine Elisabeth (Prix de la Région de Bruxelles Capitale).

Alberto Ferro interprète le Concerto n° 21 pour piano et orchestre, en ut majeur, K 467 de Mozart avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie sous la direction de Paul Meyer.
Il a remporté le 6e prix du Concours Reine Elisabeth (Prix de la Ville de Bruxelles) et le Prix Musiq’3 du public.
Enregistrement RTBF, La Trois.


MUSIQ3_RVB_15MUSIQ’3 – Les dessous du Concours Reine Elisabeth

Interview de Jean-Frédéric Molard, premier violon à l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie


2015 – Session violon

Bruxelles, Flagey, du 11 au 16 mai 2015, à 15 h et à 20 h. L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie accompagne les demi-finalistes du Concours Musical International Reine Elisabeth 2015 – session violon – dans les concertos de Mozart.
Interview de Paul Meyer, chef d’orchestre, par Laurent Graulus – Enregistrement RTBFLa trois


Retrouvez les vidéos du Concours Reine Elisabeth sur www.rtbf.be/auvio

 

Share

Laisser un commentaire