About this event
Lors de la folle soirée du de la fête d’ouverture de Mons 2015, l’ORCW avait investi l’Alhambra, le temple pop, électro et rock de Mons, pour une nuit mémorable.
Le succès avait été tel qu’une version 2 vous est proposée.
DiscoclassiX #2, une nuit dédiée aux sons !
Les musiciens de l’ORCW et leur nouveau directeur musical, Frank Braley, enchaîneront les hits classiques pour vous faire vibrer, bouger, danser, rêver… pour une soirée en trois temps.
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20 h > 22 h Ι Premier Temps : (Classico ma non tropo)
Avec leurs invités, Sylvain Cremers (hautbois), Ronald van Spandonck (clarinette), Marc Grauwels (flûte) et Julie Mossay (soprano), l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et Frank Braley vous emmèneront aussi sur des chemins de traverse, explorant les frontières musicales… cette soirée vous emportera dans un voyage musical unique.
Nicolas d’Alessandro, créateur avec Joëlle Tilmanne de la start-up « Hovertone », jouera de sa tablette musicale hightech, HandSketch.
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22 h > 23 h Ι Deuxième Temps : (Electro e piccolo classico)
Haring, jeune compositeur de musique électronique montois, interagira de façon originale avec les musiciens de l’ORCW.
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23 h Ι Troisième Temps : ( Electro completamente locco)
Les Dj’s résidents de l’Alhambra enchaîneront pour vous faire danser jusqu’au bout de la nuit, avec une seconde intervention de Nicolas d’Alessandro.
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Avec :
Orchestre Royal de Chambre de Wallonie
Frank Braley, direction et piano
DJ Haring
Nicolas d’Alessandro, tablette musicale HandSketch
DJs résidents de l’Alhambra : Alex Palmer…
20 h – Ouverture
20h30 > 22 h – ORCW – – Nicolas d’Alessandro, tablette musicale
22h > 22h30 – ORCW & DJ Haring
22h30 > 23h – DJ Haring seul
23h – Clubbing – DJs de l’Alhambra – Nicolas d’Alessandro, tablette musicale
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Au programme :
- Ernest Bloch : Extrait du Concerto Grosso n°1 pour cordes et piano obbligato : 1er mouvement, Prélude
- Antonio Vivaldi: Extraits des « Quatre Saisons »
« Le Printemps », concerto en mi majeur op. 8 n°1 RV 269 – 1er mouvement : Allegro
« L’Eté », concerto en sol mineur op. 8 n°2 RV 315 – 3e mouvement : Presto
Jean-François Chamberlan, violon - Alessandro Marcello : Extrait du Concerto en ré mineur pour hautbois et cordes : 2e mouvement, Adagio
Sylvain Cremers, hautbois - Malcolm Arnold : Extrait du Concerto en ré mineur pour hautbois et cordes op. 39 : 2e mouvement, Vivace
Sylvain Cremers, hautbois - Antonio Vivaldi : Extrait du Concerto pour deux violoncelles RV 531 : 2e mouvement, Largo
Nicolas d’Alessandro, HandSketch
Edith Baugnies, violoncelle - Nicolas d’Alessandro, HandSketch / Solo
- François Borne : Fantaisie brillante sur « Carmen »
Marc Grauwels, flûte - Camille Saint Saens : Une flûte invisible, pour soprano, flûte et cordes
Julie Mossay, soprano
Marc Grauwels, flûte - Wolfgang Amadeus Mozart : Air de Suzanne, extrait des « Noces de Figaro »
Julie Mossay, soprano - Gioacchino Rossini : La Danza, Tarentelle Napolitaine pour soprano et cordes
Julie Mossay, soprano
PAUSE ———————————————————————–
- Astor Piazzola : La Despareja et Calles lejanas
Frank Braley, piano
Jean-Frédéric Molard, violon
Hans Vandaele, violoncelle
Ronald Van Spaendonck, clarinette - Béla Kovács: After you Mr. Gershwin !
Frank Braley, piano
Ronald Van Spaendonck, clarinette - George Gershwin : Summertime, extrait de « Porgy and Bess »
Julie Mossay, soprano
Frank Braley, piano - Sergueï Rachmaninov : Vocalise
Nicolas d’Alessandro, HandSketch - Dimitri Chostakovitch: Valse n°3, extraite de « Four Waltzes for Flute, Clarinet and Piano » (The Return of Maxim), op. 45
Marc Grauwels, flûte
Ronald Van Spaendonck, clarinette
Frank Braley, piano - Dimitri Chostakovitch: Valse n°2 pour cordes
- Osvaldo Golijov : Extrait de « The dreams and Prayers of Isaac the Blin » pour clarinette et cordes : fin du 2e mouvement, Yiddish
Ronald Van Spaendonck, clarinette - Phil Glass : Ouverture de « La belle et la bête »
- Bernard Herrmann: Psychose
- Ennio Morricone : Gabriel’s oboe, thème pricipal du film « Mission »
Sylvain Cremers, hautbois - Jarek Frankowski: Metal Strings
Jean-Frédéric Molard, violon - John Adams : Shaker Loops (shaking and trembling)
avec DJ Haring
Après des études musicales supérieures au Conservatoire Royal de Musique de Liège, Sylvain Cremers se perfectionne à la « Musikhochschule » de Cologne ainsi qu’auprès de Jean-Louis Capezzali à Paris.
Lauréat du Concours National Axion Classics (anciennement « Pro ci Vitate ») de Belgique, il a également participé aux concours internationaux de Munich ( ARD) et de Bayreuth (Pacem in Terris).
Il devient successivement professeur de hautbois à l’Académie de Musique de la Communauté Germanophone de Belgique entre 1991 et 1997, à l’Institut Supérieur de Musique et Pédagogie de Namur (IMEP) de 1994 à 1998, au Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles (1997 à 2000), au Conservatoire Royal de Musique de Mons depuis 2000 et à nouveau à l’IMEP depuis 2011.
Depuis 1994, Sylvain Cremers occupe le poste de hautbois-solo à l’Orchestre Philharmonique Royal de Liège Wallonie- Bruxelles.
Il s’est produit en soliste avec différents orchestres de chambre, avec l’Orchestre National de Belgique, l’Orchestre Philharmonique de Liège, Sinfonietta Köln et l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie.
Il est régulièrement invité comme professeur à différents masterclasses : Libramont, Malonne, Dinant, G.D. Luxembourg, Conservatoire de Pekin (en 2002), Antwerpen etc…
Ronald Van Spaendonck, clarinette
Ronald Van Spaendonck, élu « Rising Star » par le réseau ECHO, BBC New Generation Artist et lauréat de plusieurs concours internationaux, est conseiller artistique auprès de Buffet Crampon et « Gold Performing Artist » des Anches Rico, professeur de clarinette aux Conservatoires Royaux de Mons et de Bruxelles, à l’École Normale de Musique de Paris (Alfred Cortot) et professeur « Honoris Causa » au Conservatoire de Guangzhou (Chine).
En septembre 2000, il est choisi comme BBC New Generation Artist et est invité à se produire avec le BBC Scottish Symphony, BBC Philharmonic Orchestra et le BBC National Orchestra of Wales avec qui il fit ses débuts aux PROMS en juillet 2002. Il donne récitals et concerts de musique de chambre au Wigmore Hall, Djanogly Hall, St George’s in Bristol et aux festivals de Chester, Brighton, Buxton, City of London ainsi qu’au prestigieux Festival International de Musique d’Edimbourg où il sera réinvité à plusieurs reprises.
Ronald Van Spaendonck a joué dans les plus grandes salles européennes avec entre autres l’Orchestre Philharmonique de Liège, l’Orquestra Clássica de Porto, l’Orchestre de la ville de Oulu en Finlande, l’Orchestre Symphonique de Zürich, l’Orchestre Philharmonique du Luxembourg, Het Brabants Orkest, l’Orchestre de la Radio Belge et l’Orchestre National de Belgique. Ses partenaires de musique de chambre incluent les quatuors Skampa, Ysaye, Belcea, Modigliani, les pianistes Alexandre Tharaud, Jérôme Ducros, Johan Schmidt et Muhiddin Dürrüoglu, les violonistes Gidon Kremer et Catherine Leonard, l’altiste Lawrence Power, la violoncelliste Marie Hallynck et bien d’autres.
Parmi les nombreuses récompenses internationales qui lui ont été attribuées, citons : Lauréat de l’European Youth Competition à Zürich, premier Prix du Concours International Tromp à Eindhoven, premier Prix du Concours International de Dos Hermanas (Séville) et premier Prix du Concours International pour Instruments à Vent A.Gi. Mus à Rome. Il est également lauréat « Juventus » (1991) et « Rising star » (1998).
Marc Grauwels est incontestablement aujourd’hui l’un des flûtistes belges les plus en vue. Il le doit, bien sûr, à son talent, à son charisme, à sa personnalité dynamique et généreuse, mais également à son sens inné de la communication. Son éclectisme, comme soliste international, à amené de nombreux compositeurs du monde entier à écrire pour lui ou à l’associer à la création de leurs nouvelles pièces. Ainsi, en 1985 il a participé, en duo avec le guitariste Guy Lukowski, à la première exécution de la célèbre Histoire du Tango d’Astor Piazzolla et à son tout premier enregistrement. Il a également participé à la création de la Cantate pour l’Europe d’ Ennio Morricone. Plus récemment, le compositeur grec Yannis Markopoulos lui a écrit son nouveau concerto pour flûte qui a servi comme une des musiques inaugurales des Jeux Olympiques de 2004 à Athènes.
Avant d’avoir achevé ses études musicales dans son pays, Marc Grauwels obtient déjà, à 19 ans, son premier poste en orchestre à l Opéra des Flandres. En 1976, on le retrouve piccolo solo au Théâtre Royal de la Monnaie à Bruxelles (Opéra National de Belgique), poste qu’il quitte en 1978 pour entrer comme première flûte solo à l’Orchestre Symphonique de la Radio-Télévision Belge. Il y restera dix ans, non sans avoir été choisi au même poste, en 1986, lorsque fut constitué le célèbre World Orchestra sous la direction de Carlo-Maria Giulini. Sa carrière de soliste s’est ensuite développée à une vitesse impressionnante ce qui l’amène à quitter définitivement l’orchestre en 1987. Parallèlement, il a enseigné pendant quinze ans, comme chargé de cours, au Conservatoire Royal de Bruxelles et est actuellement professeur titulaire au Conservatoire Royal de Mons.
En février 2001, suite à une tournée en Asie, les responsables mondiaux de Naxos à Hong Kong ont décidé de lui consacrer, au sein de leur catalogue, une collection particulière appelée The Flute Collection. Dans les années à venir, cette collection s’enrichira de 30 CDs consacrés au flûtiste Marc Grauwels (15 CDs Naxos sont déjà disponibles sur le marché mondial).
Depuis quelques années, Marc Grauwels est également ‘’Endorser’’ pour le célèbre constructeur de flûtes japonais Miyazawa.
Doué d’un naturel jovial et enthousiaste, Marc Grauwels n’hésite pas à multiplier les expériences musicales les plus diverses et fait volontiers alterner Piazzolla avec Mozart, Bach avec Ravi Shankar … ce qui ne l’empêche pas de montrer autant de sérieux que d’imagination dans l’élaboration de ses programmes. Son dernier enregistrement, en Première Mondiale (toujours sous le label Naxos), consacré à des oeuvres inédites pour flûte et percussions – oeuvres pour la majorité desquelles il est le dédicataire – en est un bon exemple.
C’est encore Marc Grauwels qui a participé à la réalisation de la bande sonore du film Amadeusde Milos Forman, accompagné par Thomas Bloch et l’ensemble Les Brussels Virtuosi, dans le superbe adagio pour harmonica de verre, flûte, hautbois, alto et cello KV 617. C’est également lui qui a interprété les sonates de jeunesse, les quatuors et le concerto pour flûte et harpe dans l’intégrale de l’oeuvre de Mozart présentée en un seul coffret de 170 CDs. Ce coffret, Disque d’Or, fait actuellement un succès commercial sans précédent chez Brillant Classics pour le 250ème anniversaire de la naissance de Mozart (déjà plus de 100.000 exemplaires vendus !)
Avec un minimum de 100 concerts par an dans le monde, plus de 15.000 pages qui lui sont consacrées sur le Web et une discographie déjà riche de plus de 60 Cds comme soliste, Marc Grauwels prouve qu’une bonne politique artistique peut aujourd’hui conduire un flûtiste à un formidable succès public.
Dans sa carrière comme dans ses interprétations, Marc Grauwels reste fidèle à sa personnalité … ce qui n’est pas la moindre de ses qualités.
Après des études au Conservatoire Royal de Bruxelles où elle obtient un premier prix en opéra dans la classe de Marcel Vanaud, Julie Mossay poursuit sa formation auprès de Christiane Stutzamnn au conservatoire de Nancy où elle obtient la médaille d’or et le diplôme de concert.
La jeune soprano débute sa carrière en 2005 à l’Opéra Royal de Liège dans le rôle de Barena (Jenufa de Janacek) et dans Der Freischütz de Weber. Elle se produit à l’Abbaye de la Cambre (Bruxelles) dans Israël en Egypte de Haendel avec l’Orchestre Mozan. Elle interprète Barberine (Les Noces de Figaro de Mozart) en France et aux Pays-Bas sous la direction d’Eric Lenderhandler et Paolo Gatto, et joue Kate Mullins dans Titanic de Peter Stone et Maury Yeston à l’Opéra Royal de Wallonie (Liège).
Au cours de la saison 2006-2007, elle interprète Barberine (Les Noces de Figaro de Mozart) à Lille et puis Denise dans Veronique d’André Messager à l’Opéra National de Lorraine (Nancy). Elle chante en Belgique et en France pour des concerts de musique sacrée et baroque (Caccini/ Carissimi/ Frescobaldi aux Nancyphonies, juillet 2007) et de mélodies.
A l’automne 2007, elle intègre l’Opéra Studio de Gand et interprète à l’Opéra des Flandres plusieurs ouvrages avec des metteurs en scène connus tels que Vincent Boussard, … Parallèlement, le calendrier de la soprano s’enrichit de projets nombreux et variés, dont le rôle de Papagena (La Flûte Enchantée de Mozart) sous la direction de Jean-Yves Ossonce à Tours.
En 2008-2009, Julie Mossay Omphale interprète le rôle d’Omphale dans Les Travaux d’Hercule de Claude Terrasse à l’Opéra de Metz. Elle est la soliste d’un concert Mozart à Nancy et interprète la Symphonie n°4 de Malher avec le Symfonieorkest Vlaanderen à Bruxelles et aux Pays-Bas.
La saison 2009-2010 comprend plusieurs débuts sur des scènes importantes et dans de nouveaux ouvrages pour elle : Poussette (Manon de Jules Massenet) pour Angers-Nantes Opéra , Noémie (Cendrillon de Jules Massenet) à l’Opéra de Marseille, Serpina de (La Serva Padrona de Giovanni Battista Pergolesi) avec l’Ensemble Leporello à travers la Flandre, Pedro (Don Quichotte de Jules Massenet) sous la direction de Marc Minkowski et avec José Van Dam (qui fera à cette occasion ses adieux à la scène), Gianetta dans une nouvelle production de (L’Elisir
d’Amore de Gaetano Donizetti) à Saint-Etienne, Rouen puis Limoges.
En 2011, elle intègre la chapelle musicale Reine Elisabeth, où elle travaille avec José Van Dam et Jocelyn Dienst.
Elle est invitée à chanter Frasquita (Carmen de Georges Bizet) sous la direction de Patrick Fournillier pour l’ouverture de l’opérade Muscat (principauté d’Oman). Elle revient à la monnaie avec Ida (Die Fledermaus de Johann Strauss) et dans Manon Lescaut de Giacomo Puccini. Elle interprète Thérèse (Les mamelles de Tirésias de Guillaume Apollinaire) au festival d’Aix en Provence et à la Monnaie. Elle a fait ses débuts à l’opéra de Lausanne dans le rôle de Nadia (La veuve joyeuse de Franz Lehar) en décembre 2015.
Julie Mossay se passionne aussi pour le théâtre, la danse, la comédie musicale et le jazz. Elle collabore régulièrement avec l’Orchestre de Chambre de Wallonie dans différents projets comme de l’opéra, de l’opérette, du Mozart ou du jazz. Elle chante également avec l’orchestre Philharmonique de Liège, du Luxembourg et l’Orchestre National de Belgique.
Elle donne de nombreux récitals du répertoire sacré (messe en ut et requiem de Mozart, requiem de Haydn, Fauré, messe du couronnement de Mozart, Israël en Egyte et le Messie de Handel) mais aussi de mélodies françaises, auxquelles elle est très attachée.
Nicolas d’Alessandro, HandSketch.
Nicolas d’Alessandro est Docteur en Sciences Appliquées de la Faculté Polytechnique de l’Université de Mons depuis 2009. Passionné de technologies musicales depuis toujours et intéressé par le traitement informatique de la voix depuis ses études, il a façonné, à l’institut Numediart, un nouvel axe de recherche visant à utiliser le geste musical pour étudier les phénomènes liés à la parole et au chant. En 2007, il invente le HandSketch, instrument numérique permettant de produire du chant artificiel sur scène. Ce nouvel instrument lui fera faire le tour du monde, à la fois comme scientifique et comme artiste numérique, en réalisant de nombreuses performances et installations.
Vainqueur du prix ProtoPITCH fin 2014, il décide peu après de lancer, avec Joëlle Tilmanne, responsable du groupe de recherche “motion capture” à Numediart, la startup Hovertone, spécialisée les logiciels du mouvement et du son. Hovertone crée des “effets spéciaux dans la vie réelle”, une combinaison unique d’expertise technique et artistique, permettant de repousser les limites de ce que les nouvelles technologies peuvent faire dans les métiers créatifs.
Derrière Haring se cache Yann, un jeune musicien et producteur bruxellois (Belgique) avide de sons envoutants, oniriques et mélodiques. Auteurs de plusieurs EP, Gold Coast/Translation (2013), Dust Above Mountains (2013) et Nowadays (2014), il a également réalisé de multiples remixes pour différents artistes et sorti son dernier EP « Late Night Dream » (2015) sur son propre label Venja Venja Records. Influencé par des artistes tels que Gold Panda, Chrome Sparks, Rone ou encore Tycho, Haring propose une musique rêveuse inspirée de ses différents voyages à travers le monde et de ses longues nuits à chercher la sonorité parfaite.
Pascal Goossens est un baroudeur noctambule insatiable. Il écume les meilleurs clubs d’Europe depuis 20 ans, autant comme amateur de musique électronique que comme Dj sous le pseudo americano-lynchéen d’Alex Palmer. Ses expériences de directeur artistique au Spirito et au Mirano à Bruxelles l’ont amené a acceptés avec bonheur le poste de gestionnaire de l’Alhambra et chargé de projet musiques actuelles dans la ville de Mons où il réside depuis plus de 15 ans.