Alors on danse
Quand la danse inspire la musique…
De nombreux compositeurs ont écrit des danses, explorant une variété de styles et de rythmes, chacune reflétant leur créativité et leur sensibilité musicale (Plus d’infos).
- Franz Schubert, Cinq danses allemandes D. 90 (15′)
- Piotr Tchaïkovski, Valse (2ème mouvement de la Sérénade op. 48) (4′)
- Nikos Skalkottas, Cinq danses grecques (13′)
- Astor Piazzolla
1. Oblivion (4’30)
2. Grand Tango (12′) - Komitas / Sergeï Aslamazyan, Trois miniatures (9′)
- Béla Bartók, Six danses populaires roumaines Sz56 (8′)
Classic’n folk
Le répertoire folklorique revisité par les grands compositeurs classiques de divers pays du globe.
- Joaquín Turina, La oración del Torero. op.34 (9′ 30′)
- Nikos Skalkottas, 5 danses grecques (12′)
- Trois mélodies nordiques (arr. Danish string quartet) (11′)
- Béla Bartók, 6 danses populaires roumaines Sz.56 (8′)
- Astor Piazzolla, Tango Ballet (12′)
- Leo Weiner, Divertimento n°1 op. 20 (9′)
- Komitas/ Sergei Aslamazyan, Trois miniatures (9′)
Le monde de la nuit
Une expérience immersive dans le monde de la nuit, qui inspire des contrastes saisissants : l’angoisse et la sérénité, la tendre rêverie, l’inquiétude des ombres, ou encore l’effervescence d’une ville qui ne dort jamais.
- Franz Schubert, La Jeune Fille et la Mort / 2ème mouvement (14′)
- Luigi Boccherini, Musique Militaire Nocturne de Madrid (16′)
- Eugène Ysaye, Rêve d’enfant (5′)
- Wolfgang Amadeus Mozart, Petite Musique de Nuit, K 525 (20′)
- Arnold Schönberg, La Nuit Transfigurée (35′)
Musique de film : Nino Rota
Les plus belles notes de musique de Nino Rota -notamment pour les films de Federico Fellini (La Strada, La Dolce Vita, 8 ½, Roma, Il Casanova et Répétition d’orchestre), de Luchino Visconti (Le Guépard), de Francis Ford Coppola (Le Parrain) – ont été compilées par Vincenzo Anselmi. Il a intitulé cette suite « È arrivato Zampanò » (Zampanò est arrivé) en référence au personnage magistralement interprété par Anthony Quinn dans « La Strada » de Fellini, indéniable chef-d’oeuvre du septième art.
- Nino Rota : Concerto per archi (15′ 45″)
- È arrivato Zampanò… Omaggio a Nino Rota
(Zampano est arrivé… Hommage à Nino Rota)
élaboré par Vincenzo Anselmi (30′)
Musique de film :
Ennio Morricone
Ennio Morricone a créé des bandes originales emblématiques pour plus de 500 films. Il est particulièrement célèbre pour ses collaborations avec le réalisateur Sergio Leone, notamment pour la trilogie « Dollars « (Le Bon, la Brute et le Truand – Pour une poignée de dollars – Et pour quelques dollars de plus). Parmi ses œuvres les plus connues, citons aussi les légendaires B.O. de Il était une fois dans l’Ouest, La Mission, Cinema Paradiso, Les Incorruptibles, Le Clan des Siciliens, Les Huit Salopards, le Professionnel, Il était une fois en Amérique…
Metti, una sera… Omaggio a Ennio Morricone
(Disons, un soir… Hommage à Ennio Morricone)
élaboré par Vincenzo Anselmi.
Ciné-concert
Certains compositeurs de musique de film ont su maîtriser l’art de fusionner la musique avec le cinéma, créant des compositions mémorables qui deviennent parfois aussi emblématiques que le film lui-même.
- Samuel Barber, Adagio pour cordes op. 11 / « Platoon » d’Oliver Stone (10′)
- Nino Rota, Concerto pour cordes / « La Strada » de Federico Fellini (18′)
- Michael Nyman, The Piano for strings / « La Leçon de piano » de Jane Campion (15′)
- Ludwig Van Beethoven, Quatuor n°7 en Fa Majeur, op. 59 n°1, » Razumovski » / « Une femme mariée » de Jean-Luc Godard (38′)
Les Quatre Saisons
Les « Quatre Saisons » de Vivaldi et les délicates miniatures des « Saisons » de Tchaïkovski sont des oeuvres qui ont traversé les frontières et les siècles à juste raison. De la rêverie à l’allégresse, de l’enthousiasme à la mélancolie, de la renaissance au sommeil, elles dérouleront le cycle naturel de la terre à travers leurs notes évocatrices.
- Piotr Tchaïkovski, Les Saisons op. 37a (extraits)
1. Mars – Chant de l’alouette (1′ 55″)
2. Avril – Perce-neige (2′ 25″)
3. Juin – Barcarolle (4′ 48″)
9. Septembre – La chasse (2′ 45″) - Antonio Vivaldi : Les Quatre Saisons, op. 8, n° 1-4
Jean-Frédéric Molard, violon (40′)
Pour un concert avec pause, l’oeuvre suivante peut être ajoutée. Tchaïkovski rend hommage à Florence, ville qu’il chérissait, dans un sextuor solaire et pétillant, joué dans sa version symphonique.
- Piotr Tchaikovsky, Souvenir de Florence (36′)
Harmonies festives
Conçu pour émerveiller mélomanes et curieux, ces programmes démontrent que la musique classique, loin d’être figée, reste une source inépuisable d’émotions.
Harmonies festives #1
- Carl Philipp Emanuel Bach, Symphonie en sol majeur H657 Wq182/1 (12′)
- Carl Reinecke, Cavatine (Sérénade pour cordes, op. 242) (6′)
- Trois mélodies nordiques (arr. Danish string quartet) (11′)
- Joaquín Turina, La oración del Torero. op.34 (9′ 30′)
- Antonín Dvořák, Tempo di Valse (Sérénade op.22) (6′)
- Leó Weiner, Divertimento n°1 op. 20 (9′)
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- Arcangelo Corelli, Concerto grosso en sol mineur op.6 n° 8 « Pour la nuit de Noël » (16′)
- Luigi Boccherini, Musique militaire nocturne de Madrid, op. 30 (13′)
- Antonio Vivaldi, L’hiver, extrait des Quatre Saisons , RV 297, en fa mineur, op. 8 (11′)
- Wolfgang Amadeus Mozart, Divertimento en fa majeur KV138 (11′)
- Shigeru Umebayashi, In the mood for love – Yumeji’s Theme (6′ 10″)
- Karl Jenkins, Palladio (3′)
A la découverte de l’Arménie
À la fin du 19e siècle, le Père Komitas a joué un rôle crucial en retranscrivant sur partition toutes les musiques traditionnelles arméniennes qui avaient été transmises oralement jusqu’alors.
Le cofondateur du Komitas Quartet, Sergei Aslamazyan s’est inspiré de ces mélodies pour écrire ses Miniatures.
De son côté, Ruben Altunyan a continué à faire vivre cette tradition à travers des arrangements personnels, tandis qu’Edward Mirzoyan a donné un nouvel essor à la musique arménienne en la faisant connaître au-delà des frontières.
- Edward Mirzoyan : Quatuor à cordes (version pour orchestre à cordes) (22′ 40″)
- Ruben Altunyan : Miniatures arméniennes (15′ 40″)
- Komitas – Aslamazyan : Trois Miniatures (26′ 25″)
Divertissements musicaux
Un programme varié qui met en lumière quelques œuvres emblématiques de la musique classique : une pièce joyeuse et pétillante de Mozart, une célèbre partition de Vivaldi qui évoque la beauté et la mélancolie de l’automne, une œuvre de Grieg inspirée par la musique baroque, riche en couleurs et en émotions, et pour conclure une page de Britten pleine de fraîcheur et d’inventivité.
- Wolfgang Amadeus Mozart, Divertimento en ré majeur K 136 (14′)
- Antonio Vivaldi, L’Automne RV 293, extrait des Quatre Saisons (10′ 30″)
- Edvard Grieg, Suite Holberg op. 40 (21′)
- Benjamin Britten, Simple Symphony (19′)
Mélodies d’hier et d’aujourd’hui
La musique classique, riche de siècles d’histoire et de diversité, trouve ses couleurs dans les œuvres de compositeurs aux sensibilités variées. Ce voyage sonore réunit des compositeurs majeurs comme Mendelssohn, Vivaldi, Puccini, Grieg, Karłowicz et Anderson, chacun apportant une palette unique à cet univers intemporel.
- Félix Mendelssohn-Bartholdy, Symphonie n°6 en mi bémol majeur (11′)
- Antonio Vivaldi, L’Eté, extrait des « Quatre Saisons » (11′)
- Giacomo Puccini, Crisantemi (6′)
- Edvard Grieg, Suite Holberg op. 40, 1er et 5e mouvement (Praeludium et Rigaudon) (7′)
- Mieczysław Karłowicz, Sérénade pour cordes op. 2, 3e mouvement (Valse) (7′)
- Leroy Anderson, Miniatures (Serenata, Forgotten Dreams, Plink Plank Plunk) (9′ 30″)
Au fil du temps et des régions
Plongez dans un voyage musical à travers les époques et les cultures avec ce programme raffiné qui vous invite à découvrir la diversité et l’élégance des œuvres pour cordes, de l’Europe occidentale à l’Arménie en passant par la Pologne. Chaque composition dévoile une facette unique de la richesse musicale.
- Albert Roussel, Sinfonietta pour cordes op.52 (10′)
- Komitas, Miniatures arméniennes (28′)
- Henryk Mikołaj Górecki, 3 pièces dans un style ancien (9′)
- Edward Elgar, Sérénade pour cordes en mi mineur op. 20 (12′)
Mélodies croisées
Ce programme met en lumière trois maîtres de la musique classique, chacun exprimant avec élégance les couleurs et les émotions de son époque et de sa culture.
- Franz Schubert, Quartettsatz en do mineur D703 (9′ 48″)
- Edvard Grieg, Deux Mélodies Nordiques pour orchestre à cordes, op.63 (12′)
- Piotr Ilitch Tchaïkovski, Sérénade pour cordes en do majeur op.48 (30′)
L’âme slave
À travers une sélection d’œuvres qui capturent l’essence de l’âme slave, ce programme met en lumière la richesse et la diversité de la musique de l’Europe centrale et de l’Est, où se mêlent passions, mysticismes et traditions populaires qui ont inspiré certains des plus grands compositeurs de l’histoire.
- Jan Paderewski, Suite en sol majeur pour ensemble à cordes (1884, inachevée) (10’30″)
- Henrik Mikolaj Gorecki, Trois pièces dans le style ancien (10′)
- Arvo Pärt, Summa pour cordes (9′)
- Bohuslav Martinu, Quatuor pour orchestre à cordes (35′)
- Anton Dvorak, Sérénade pour cordes en Mi Majeur (35′)
- Bela Bartok, Divertimento pour cordes (25′)
Viva Italia !
Ce programme met en lumière l’âme de l’Italie à travers ses compositeurs les plus célèbres. Chaque œuvre témoigne du génie créatif de cette nation musicale par excellence.
- Antonio Vivaldi, Les Quatre Saisons (36′)
- Nino Rota, Concerto pour cordes (18′)
- Giaccomo Puccini, Crisantemi (9′)
- Ottorino Respighi, Danses et airs antiques de la Suite n°3 pour cordes (18′)
Les Adieux – Effectif élargi
La Symphonie Concertante pour violon et alto et orchestre de Mozart est un chef-d’oeuvre incontournable de la musique classique. Mozart, qui appréciait le timbre de l’alto, y a harmonisé les voix du violon et de l’alto, créant ainsi un dialogue expressif et d’une virtuosité technique exigeante pour les deux solistes.
On attribue la paternité de la musique symphonique à Haydn. Il a écrit plus de 100 symphonies empruntes d’inventivité et d’humour. Avec « Les Adieux », on lui doit la première revendication syndicale des musiciens! La symphonie s’achève en effet par le départ échelonné de tous les musiciens, pour ne laisser finalement que deux seuls violons, afin de faire comprendre au Prince Nikolaus Esterhazy que les musiciens de la cour, résidant depuis plusieurs mois à Esterháza, avaient hâte de rejoindre leur famille.
- Wolfgang Amadeus Mozart, Symphonie Concertante pour violon, alto et orchestre (32′)
- Joseph Haydn, Symphonie n°45 en fa dièse mineur « les adieux » (30′ 30″)
Pour un concert avec pause, l’oeuvre suivante peut être ajoutée :
- Antonio Salieri, Sinfonia Veneziana (10′)
Auteur d’opéras avant tout, Salieri n’a laissé que peu d’œuvre orchestrales, et n’a pas composé de symphonie à proprement parler… Sa « Sinfonia Veneziana », en effet, s’appuie sur des extraits de deux de ses opéras. À Vienne, l’ascension musicale de Salieri coïncide avec le deuxième séjour de son cadet, Mozart, en 1768. Arrivé dans la capitale impériale, Mozart ne sait rien de ce compositeur, tandis que Salieri connaît très bien la renommée de cet enfant prodige de douze ans.
Les Maîtres du XXe
Ce concert met en lumière quatre génies créatifs qui ont profondément marqué la musique du XXe siècle. Ils ont su redéfinir les contours de la musique classique, chacun avec son style unique, tout en portant la musique vers de nouveaux horizons.
- Dimitri Chostakovitch, Symphonie de Chambre op. 110A (22′)
- Jan Paderewski, Suite en sol majeur pour ensemble à cordes (1884, inachevée) (11′ 35″)
- Belà Bartòk, Divertimento pour cordes (25′)
- Igor Stravinsky, Concerto en Ré Majeur pour orchestre à cordes (14′)
Hits des classiques en extraits
- Wolfgang Amadeus Mozart, Eine Kleine Nachtmusik, K 525 / Allegro (9′)
- Jean-Sébastien Bach, Suite n°3 en Ré Majeur BWV 1068 / Aria (8′)
- Piotr Tchaïkowsky, « Les Saisons » / Barcarolle en sol mineur (6′)
- Gioacchino Rossini, Sonate n°3 en Do Majeur (12′)
- Arvo Pärt, Summa (9′)
- Franz Schubert, « La Jeune Fille et la Mort » D 810 / Andante con moto (14′)
- Ludwig Van Beethoven, Quatuor n°11 en fa mineur op. 95, » Quartetto serioso » / Allegro con brio (9′)
Spectacle humoristique
Roberto D’Olbia Show Orchestra
Roberto d’Olbia joue avec la musique avec une aisance décoiffante, il n’a pas fini de vous surprendre et de vous faire rêver… Devenu pianiste virtuose après une solide formation classique, il décide d’utiliser ses dons d’imitateur et d’humoriste pour créer des spectacles autour de la musique et mêle alors sans complexe tous les genres musicaux.
- Jean-Sébastien Bach, Concerto en ré mineur BWV 1052
- Manuel de Falla, L’Amour Sorcier : Danse Rituelle du Feu
- Serge Prokofiev, Romeo et Juliette : Dance of the Knightes
- Gioachino Rossini, Le Barbier de Séville : Air de la Calomnie
- Vittorio Monti, Csárdás
- Roberto d’Olbia, Wild Boogie Woogie
- Roberto d’Olbia, Voyageur Song
- Warren/d’Olbia, There will never be another you
Avec soliste(s) belges
Inspirations populaires
Un programme qui souligne la richesse de la musique du XXe siècle lorsque les compositeurs y mêlent habilement des inspirations populaires.
Julie Delbart, piano
Ronald Vanspaendonk, clarinette
- Francis Poulenc, Sonate pour clarinette et piano (version avec orchestre) (14′)
- Sergueï Prokofiev, Ouverture sur des thèmes juifs op.34 (10′)
- Aaron Copland, Concerto pour clarinette (17′)
- Aaron Copland, Sextuor pour clarinette, piano et quatuor à cordes (version avec orchestre) (15′)
La France, Terre de contraste
Un programme consacré au répertoire français du début du 20e siècle, avec trois oeuvres de maturité très contrastées.
Ronald Van Spaendonck, clarinette
- Camille Saint-Saëns, Sonate pour clarinette op.167 (18′)
- Claude Debussy, Six épigraphes antiques (16′)
- Albert Roussel, Sinfonietta pour cordes op.52 (10′)
Mendelssohn, fan de Bach
Irina Lankova, piano
Jean-Sébastien Bach a été intensément admiré de son vivant. Organiste de génie, improvisateur hors-pair, compositeur prolifique dont les œuvres sont aujourd’hui encore source d’inspiration pour les musiciens de tout style, Bach est pourtant tombé dans l’oubli pendant plus de 100 ans. il fallut attendre le début du 19e siècle pour qu’un jeune musicien, Félix Mendelssohn, découvre son œuvre par hasard et la mette en lumière, rendant sa juste place à ce génie universel.
- Félix-Mendelssohn-Bartholdy, Symphonie pour cordes n°2 (11′)
- Jean-Sébastien Bach, Concerto pour piano n°7 en sol mineur BWV 1058 (15′)
- Félix-Mendelssohn-Bartholdy, Symphonie pour cordes n°7 (22′)
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Métamorphoses
Irina Lankova, piano
Écrites à la fin de la Seconde Guerre mondiale, les Métamorphoses de Richard Strauss expriment la douleur et la résignation, mais aussi l’idée d’évolution vers la sagesse par la connaissance de soi, inspirée par les lectures de Goethe.
Nous retrouvons ensuite la sérénité et la joie dans le premier Concerto de Chopin
- Richard Strauss, Métamorphoses, version pour septuor à cordes (28′)
- Frédéric Chopin, Concerto pour piano n° 1 en mi mineur Op.11 (44′)
Mendelssohn, l’éternel romantique
Florian Noack, piano
Enfant prodige, Félix Mendelssohn est l’auteur de douze symphonies pour cordes composées entre 1821 et 1823. Personnalité incontournable de l’ère romantique, il a contribué à tous les genres musicaux, influencé au cours de sa brève carrière par la musique de Mozart et de Bach. La période qui suit son mariage en 1837 est vécue comme très heureuse par le jeune compositeur, alors âgé de 28 ans, et la partition brillante du Concerto n°2 pour piano en porte la trace.
Félix Mendelssohn-Bartholdy
- Symphonie pour cordes n°1 en do majeur
- Concerto pour piano n°2 en ré mineur op. 40
- Symphonie pour cordes n°8 en ré majeur
Tanguissimo
Piazzolla est mis à l’honneur avec a version pour flûte, accordéon et orchestre du double concerto « Hommage à Liège » qui nous rappelle, comme l’« Histoire du Tango » trouvant son origine dans l’intense activité musicale de la cité mosane dans les années 80, les liens étroits qui s’étaient tissés entre Astor Piazzolla et la Belgique.
Christophe Delporte, accordéon
Marc Grauwels, flûte
- Felix Mendelssohn, Symphonie pour cordes n°10 en si mineur (12′)
- Béla Bartók, Divertimento pour orchestre à cordes (26′)
- Astor Piazzolla, « Histoire du Tango » pour flûte et accordéon (21′)
- Astor Piazzolla, Concerto « Hommage à Liège » pour flûte, accordéon et orchestre à cordes (18′)
A night at the Opera
Marc Grauwels, flûte
Jean-Frédéric Molard, violon solo de l’ORCW
- Christoph Willibald Gluck, Menuet de « Orpheus und Euridice », pour flûte et cordes (4′)
- Franz et Karl Doppler, Rigoletto Fantaisie pour flûte, violon et cordes (11′)
- Jules Massenet, Méditation de Thaïs pour violon (7′)
- Emanuele Krakamp – Giulio Briccialdi, Fantaisie sur l’Opéra La Travaita de Verdi pour flûte et orchestre (10′)
- Piotr TchaïkowskI – L. Auer, Air de Lensky de l’Opéra « Eugen Onegin », pour flûte et orchestre (6′)
- Piotr Tchaikovski, Souvenir de Florence (36′)
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Doubles concertos virtuoses
Marc Grauwels, flûte
Jean-Frédéric Molard, violon
Vincent Hepp, alto solo
- Felix Mendelssohn, Symphonie pour cordes n°10 en si mineur (11′)
- Domenico Cimarosa, Concerto en sol majeur pour flûte, violon et orchestre (18′)
- Franz et Karl Doppler, Rigoletto Fantaisie pour flûte, violon et cordes (7′)
- Jean-Baptiste Bréval, Symphonie Concertante op. 31 pour flûte, alto et orchestre (20′)
Lux in tenebris / Vers la lumière
(60′)
Tatiana Samouil, violon
Anna Samuil, soprano (russe)
Et lux in tenebris lucet, et tenebrae eam non comprehenderunt.
(La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas reçue.)
Prologue de l’Évangile selon Saint Jean – 5
La musique a toujours su capturer les dualités profondes de l’existence : ombre et lumière, douleur et espoir, ténèbres et rédemption. Ce concert, intitulé « Vers la Lumière », explore ces contrastes à travers des œuvres vocales et instrumentales d’une intensité rare, portées par la voix du soprano et la profondeur expressive du violon.
À travers ce voyage musical, « Vers la Lumière » nous invite à méditer sur notre propre cheminement entre l’ombre et la lumière, les défis et les triomphes de l’âme humaine.
- Antonio Vivaldi, « Domine Deus » pour soprano, violon et orchestre à cordes (“Gloria” RV 589 n°6
- Antonio Vivaldi, Arie “Sovvente il sole” pour soprano, violon et orchestre à cordes (Andromeda Liberata“ (Serenata Veneziana) RV 117)
- Peteris Vasks, Lonely Angel, pour violon et orchestre à cordes
- Joseph Haydn, Cantate “Arianna a Naxos” Hob.XXVIb:2 pour soprano et orchestre à cordes
- Franz Schubert, Rondo pour violon et orchestre à cordes en la major, D 438
- Charles Beriot, Ballata “Il Sogno di Tartini” pour soprano, violon et orchestre à cordes
Pour un concert avec pause, les oeuvres suivantes peuvent être ajoutée :
- Karl Amadeus Hartmann, Concerto funebre pour violon – 19′
- Ottorino Respighi, IIl tramonto pour mezzo-soprano et cordes – 15′
- Jean-Sébastien Bach, Benedictus (Messe en si mineur) – 4′
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Sur les pas d’un jeune génie, Félix Mendelssohn (60′)
Tatiana Samouil, violon
Félix Mendelssohn-Bartholdy :
- Symphonie pour cordes n°3 en mi mineur (11′ 30″)
- Concerto pour violon et orchestre n°1 en ré mineur (23′)
- Symphonie pour cordes n°6 en mi bémol majeur (11′)
- Symphonie pour cordes n°10 en si mineur (11′)
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Autour de Marie Malibran
Tatiana Samouil, violon
Anna Samuil, soprano (russe)
Un programme qui réunit voix, violon et orchestre de chambre autour de l’artiste d’exception Maria Malibran, une volonté de transmettre en musique l’histoire du couple glamour qu’elle formait avec Charles de Bériot et l’exceptionnelle qualité de leur art. Le répertoire moins connu que Maria Malibran a chanté comme les maîtres des siècles passés tels Jean-Sébastien Bach ou Henry Purcell côtoie l’opéra italien qui est représenté par l’Ave Maria de Verdi qui, bien que plus tardif, a été choisi pour son hommage à Marie, en l’honneur de qui la chanteuse a été baptisée. Mendelssohn a lui composé son air de concert Infelice pour les amants musiciens. Le concert se clôture avec Morgen de Strauss.
- Pietro Mascagni, intermezzo de « Cavalleria rusticana » (4′)
- Giuseppe Verdi, “Ave Maria » (5′)
- Henry Purcell, Air de Dido “When I am laid in earth” (extrait de « Didon et Enée ») (5′)
- Félix Mendelssohn-Bartholdy, Concerto pour violon et cordes n°1 en ré mineur – (22′)
- Félix Mendelssohn-Bartholdy, “Infelice” op. 94 (14′)
- Jean-Sébastien Bach, Erbarme dich, mein Gott (Passion selon Saint Matthieu BWV 244) (8′)
- Richard Strauss, Morgen, op. 27 n°4 (5′)
Compositeurs belges
Made in Belgium
- Paul Uy, Fagnes (5′)
- Jan Van Der Roost, Per archi (7′)
- Eric Feldbush, Cheminement pour violon et cordes (10′)
- Max Vandermaesbrugge, Sinfonia per archi op. 37 (14′)
- Michel Lysight, Trois croquis pour violon et cordes (8′)
- Frederik Van Rossum, Divertimento pour cordes op. 15 (11’30″)
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Wallonie, terre de musique #1
- André-Modeste Grétry, Quartetto n°1 en Sol Majeur, op. 3 (11′)
- César Franck, Quatuor / Larghetto (10′)
- Jean Absil, Exil pour cordes (9′)
- Jacques Leduc, Instantanés, cinq esquisses pour ensemble d’archets, op. 37 (14′)
- Roland de Lassus, Chansons Spirituelles et Galantes (7′)
- Jean Rogister, Largo dans le style ancien et scherzo (10′)
- Frederik Van Rossum, Epitaphe pour orchestre à cordes op. 25 (14′)
- Patrick Dheur, « Promenade ternaire en forme de valse », extrait de la « Suite concertante en cinq états d’esprit »
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Wallonie, terre de musique #2
- André-Modeste Grétry, Quartetto n°1 en Sol Majeur, op. 3 (11′)
- César Franck, Quatuor / Larghetto (10′)
- Eugène Ysaÿe, Exil pour cordes (9′)
- Jacques Leduc, Instantanés, cinq esquisses pour ensemble d’archets, op. 37 (14′)
- Roland de Lassus, Chansons Spirituelles et Galantes (7′)
- Jean Rogister, Largo dans le style ancien et scherzo (10′)
- Frederik Van Rossum, Epitaphe pour orchestre à cordes, op. 25 (14′)
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Wallonie, terre de musique #3
- Jean-Paul Dessy : Concerto Concreto pour piano et cordes (17′)
- Claude Ledoux, Adagio pour cordes (7′)
- Guillaume Lekeu, Adagio pour cordes op. 3 (13‘)
- Henry Vieuxtemps : Quatuor à cordes n°2 en do majeur, op. 51 – Transcription pour orchestre à cordes (32)’
Focus sur Michel Lysight
- The Old Masters of Speyside (10′ 45″)
- Concerto pour contrebasse et orchestre à cordes / Philippe Cormann, contrebasse
- Rhapsody pour clarinette et orchestre à cordes / Ronald Vanspaendonk, clarinette
- Septentrion pour alto et orchestre à cordes
- Symphonie n°3 pour orchestre à cordes
Coeur et cordes, une symphonie intemporelle (60′)
- Carl Reinecke, Sérénade pour cordes op. 242
- Patrick Dheur, Suite pour orchestre
- Patrick Dheur, Prière pour l’humanité
- Félix Mendelssohn-Bartholdy, Symphonie pour cordes n° 4 en do mineur