« Du côté de l’orchestre, la production signe les débuts de Thibaut Lenaerts comme chef d’orchestre, en l’occurrence à la tête de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie. Ténor de talent, musicien curieux de tout, entreprenant, expérimenté, Thibaut Lenaerts se produit comme chef de chœur au plus haut niveau – notamment aux côtés de Leonardo Garcia Alarc6n – son passage à l’orchestre tenait de l’évidence. Avec, pour preuve, le raffinement des sonorités, les articulations soignées, la précision des solos instrumentaux, et, bien sûr, l’attention portée aux chanteurs« .
La Libre Belgique, Martine Mergeay, 23/06/24
« MidSummer Mozartiade 2024 attire un public nombreux avec Mitridate (…)
L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie a soutenu les chanteurs dirigés par Thibaut Lenaerts. »
Klassiek central, Ludwig Van Mechelen, 25/06/24
(…) FRATERNITÉ MUSICALE… Plus qu’un jeu de confrontation et de dialogue, (creusant l’antagonisme ou la distance orchestre / soliste), c’est surtout l’esprit d’une fusion fraternelle qui s’avère prodigieuse et dans le cas des concerts écoutés, cette entente écrite et réalisée entre le clavier et les instruments de l’Orchestre qui a permis plusieurs miracles. Une fraternité en somme, à hauteur humaine, se réalise dans le jeu musical ; s’affirme selon les sensibilités et l’alchimie des associations, entre solistes et orchestres invités…
Car outre les instrumentistes du National de Lille, l’Orchestre Royal de chambre de Wallonie était activement sollicité, défendant intensément, avec une remarquable énergie, l’activité d’une formation collective et chambriste.
Le secret est là : chaque note, chaque phrase que compose Wolfgang, est une déclaration, une confession intensément vécue de l’intérieur. Les grands concertos convergent tous de la même manière vers une expression essentielle et juste, souvent tendre, redoutablement grave, qui écarte toute dilution.
Classicnews, Alexandre Pham, 23/06/24
(…) Enfin, manifestement aguerri à ce répertoire, l’Orchestre royal de chambre de Wallonie, dirigé depuis son violon par Jean-Frédéric Molard, tire son épingle du jeu dans le Concerto n°12, d’autant que le piano de Cédric Tiberghien, châtié et lumineux, ravit par un ton d’une grande fraîcheur.
Diapason, Bertrand Boissard, 20/06/24
(…) En demi-finale, les candidats présentaient un récital de leur choix, et un concerto de Mozart accompagné par !’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie. Et ce dernier peut devenir une réelle épreuve du feu, devenant parfois discriminant. C’est là l’impact incontestable du travail du chef Vahan Mardirossian qui est parvenu à offrir à chaque candidat le climat et l’influx exacts qu’appelait sa démarche (…)
Le Soir, Serge Martin – Gaëlle Moury, 21/05/24
« Dans un concours, un chef doit suivre et non diriger»
« J’ai l’impression que l’orchestre
joue un peu mieux chaque jour.
Oh, des nuances parfois infimes, mais qui dénotent d’un avancement dans l’intimité qui nous unit »
Vahan Mardirossian dirige l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie depuis janvier 2020. C’est sa deuxième prestation lors des demi-finales du Concours Reine Elisabeth et tout le monde s’accorde à dire, comme l’a souligné Gilles Ledure, président du jury dans ses remerciements de samedi soir, que l’orchestre et son chef ont signé une prestation remarquable, généreuse et attentive (…)
« Enfin en accords ! », un spectacle familial de moins d’une heure, rafraîchissant et de bon aloi.
La désacralisation de la musique classique pour jeune public est déjà devenue elle-même un classique, mais sert parfois de prétexte au pire (nous nous abstiendrons de tout exemple).
Mais elle peut aussi donner libre champ au meilleur. C’est ce que propose l’Orchestre de Chambre de l’Opéra Royal de Wallonie, une adresse de référence! (…) le 5e larron n’« accompagne » pas (le quatuor àcordes) ; il participe pleinement, il souffle joliment impertinence et poésie. Sans un mot, de bout en bout. (…) Les musiciens se promènent avec talent et légèreté entre jolies phrases mélodiques du 1er violon (…) A chaque pièce musicale, un épisode circassien ; à chacun de ces instants, une atmosphère. On s’en voudrait de dévoiler tous ces moments de grâce enfantine (…) Mais le bon goût des gags, toujours justes, et la roborative complicité qui unit les 5 artistes dans une synergie artistique constructive, donnent le ton et signent une réelle qualité.
Quant à la musique, elle n’est pas perçue, même par un public majoritairement jeune, qu’en simple accompagnement ou faire valoir (…) Un concert rondement mené, autour du clou de la séance: un Boléro inédit, acrobatique et pyramidal…
Classiqueenprovence.be, « Enfin en accords! », quatuor de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et clowne, à l’Autre Scène, Vedène, France (23-03-2024)
« Ces oeuvres nécessitent évidemment une approche très affutée et subtile. C’est le cas avec le magnifique Trio Karénine et l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie conduit par Vahan Mardirossian qui s’impose aujourd’hui comme chef de premier plan. »
Classica, Jacques Bonnaure, décembre 23
Mozart, Schubert et Haydn au Namur Concert Hall
L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie quant à lui s’est distingué par une concentration sans faille. Les musiciens, particulièrement inspirés et parfaitement dirigés par le chef arménien, ont poussé les nuances à l’extrême, allant jusqu’à des pianissimi magnifiques. La balance avec le chœur et les solistes fut parfaite d’un bout à l’autre du concert.
Crescendo, Alex Quitin, 12/12/23
Samedi dernier, la Halle aux Grains accueillait !’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie (ORCW) pour un très beau concert pour l’Arménie. Au programme, de la musique arménienne, bien sûr, mais aussi belge et italienne. Dirigés par le chef d’orchestre Va han Mardirossian, les musiciens ont partagé la scène avec deux solistes virtuoses: Jean-Marc Phillips-Varjabédian et Xavier Phillips.
Retour sur une belle soirée caritative. J’ai beaucoup apprécié la bonhomie du chef Mardirossian qui a pris le temps entre chaque morceau d’expliquer au public ce qu’il allait entendre, afin de le rendre plus sensible aux nuances et au sens de cette musique, avec simplicité et humour. On reconnaît bien là la patte belge, que l’on apprécie tant (Lire l’article)
CULTURE Déconfiture.fr, Julien, 12/12/22
A la Halle aux grains, c’est en musique que les Arméniens de Toulouse viennent au secours de l’enfance
L’Amicale des Arméniens de Toulouse Midi-Pyrénées organise son traditionnel concert au profit de l’enfance ce soir vendredi. Elle invite cette année l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, dirigé par Vahan Mardirossian et les solistes Jean-Marc Phillips-Varjabedian, violon et Xavier Phillips, violoncelle (Lire l’article)
La Dépêche, Jean-Marc Le Scouarnec, 09/12/22
« C’est quoi être chef de douze cordes ?
C’est placer le niveau très haut, amener tout le monde au même niveau et transformer l’orchestre en un seul instrument (..) Aussi fort qu’on soit, jouer dans un orchestre est un vrai métier. Et celui-ci exige de la technique, de la passion et un maximum de préparation. Par l’entremise de nos chefs de pupitres, nous avons organisé un recrutement auprès des conservatoires de la FWB. Les jeunes ainsi sélectionnés pourront, à l’occasion, s’intégrer à l’orchestre comme supplémentaires et figurer sur une liste de recrutement. Quand j’étais jeune, je rêvais qu’on me tende la main … » (Lire l’article)
La Libre Belgique, Martine D. Mergeay, 25/10/22
L’ORCW intègre de jeunes talents ! (…) l’orchestre crée cette année son
« académie » pour donner leur chance à des étudiants qui terminent le conservatoire. Ils joueront en concert avec l’orchestre.
« Rien ne remplace l’expérience ! »
« On a commencé une véritable académie pour les jeunes qui vont bientôt être diplômés des conservatoires de Mons, Bruxelles et Namur », explique Vahan Mardirossian. « Notre but est de donner régulièrement, quatre ou cinq fois par an, des concerts avec un orchestre renforcé par ces étudiants. Nous apprendrons à les connaître et eux, à connaître le travail au sein d’un orchestre. C’est très différent de ce que l’on apprend au conservatoire. Au sein d’un orchestre, l’enjeu n’est pas de jouer mieux que les autres, mais de jouer comme les autres. Dans ce domaine, rien ne remplace l’expérience ! Nos 12 musiciens permanents, tous très professionnels, sont en mesure de les conseiller. »
Sudinfo – La Province, Corinne Toubeau, 31/08/22
De la musique classique dans les universités montoises grâce à l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie
Intéresser les jeunes à la musique classique et la rendre ainsi plus populaire, c’est l’objectif poursuivi (…)
Le jeudi 20 octobre, Jean-Frédéric Molard et Hans Vandaele emmèneront leur violon et leur violoncelle à l’UCLouvain FUCaM Mons dans le cadre d’un concert gratuit, proposé en la chapelle des Ateliers des FUCaM. Quelques jours plus tard, le 28 octobre, c’est du côté de la Faculté Polytechnique et Warocqué de l’UMons que les musiciens se donneront rendez-vous. Deux mini-concerts classic’n folk (des musiques classiques issues des folklores européens) y seront proposés (…)
« Lorsque je suis arrivé à la tête de l’ORCW, j’ai immédiatement eu cette volonté d’aller vers les jeunes. Mais ce n’est pas si simple. Il faut en général aller vers eux, chez eux, pour qu’ils aient ensuite l’idée de venir chez nous. C’est pour cela que les concerts proposés à l’Université de Mons seront suivis d’un autre événement. Le 17 novembre à l’Arsonic, nous proposerons aux étudiants un blind test autour des musiques classiques utilisées dans la culture populaire. »
La Libre, E. Brl., 30/08/22
L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie débarque dans les universités montoises
Populariser la musique classique afin de la rendre la musique au plus grand nombre, c’est sans conteste l’un des objectifs poursuivis par l’Orchestre Royal de Chambre deWallonie (ORCW). Ce mercredi soir, ce dernier investira un lieu emblématique de laCité du Doudou : la Collégiale Sainte-Waudru. Après quoi il poursuivra la préparation de ses concerts, préparés à Mons et donnés tantôt en Belgique, tantôt à l’étranger…Avec une halte dans les écoles et universités montoises.
Le premier lors de l’intercours en matinée (10h10-10h40) dans le hall de la faculté polytechnique, le second sur l’heure de midi (12h30-13h15) dans le hall de la faculté Warocqué. « C’est une formule qui a déjà fait ses preuves : nous devons d’ailleurs souvent nous excuser auprès des professeurs car les étudiants s’arrêtent, s’intéressent, et arrivent en retard au cours suivant », plaisante Laurent Fack, directeur de l’ORCW.
« Lorsque je suis arrivé à la tête de l’ORCW, j’ai immédiatement eu cette volonté d’aller vers les jeunes. Mais ce n’est pas si simple. Il faut en général aller vers eux, chez eux, pour qu’ils aient ensuite l’idée de venir chez nous. C’est pour cela que les concerts proposés à l’Université de Mons seront suivis d’un autre événement. Le 17 novembre à Arsonic, nous proposerons aux étudiants un blind test autour des musiques classiques utilisées dans la culture populaire. »
DH, E. Brl, 30/08/22
Les infinies richesses de « La Finta Giardiniera »
Production passionnante de l’opéra de jeunesse de Mozart.
La Libre Belgique, Martine Dumont-Mergeay, 28/06/22
Un opéra de Mozart en italien pour lancer les festivités estivales de Destination Mons
L’ORCW jouera à domicile le 5 juillet « La Fausse jardinière », une perle rare du maestro.
Comme chaque année, dans la cité du Doudou, l’été sera rythmé par l’agenda de Destination Mons. Et c’est l’Orchestre royal de Chambre de Wallonie qui ouvre le bal pour cette édition 2022, dans le cadre du Festival au Carré.
Pour cette mise en jambe estivale, l’ORCW – basé à Mons, faut-il le rappeler? – convoque Mozart. Et en italien! À travers une mise en scène d’Eric Gobin et sous la direction musicale de Gabriel Hollander, l’ORCW interprètera « La Fausse jardinière » avec une brillante troupe d’artistes émergents.
Incroyable, cette fraîcheur de l’ORCW ! En introduisant pour la 13e fois cette semaine le 2e concerto (en ré majeur) de Haydn, le voilà tout guilleret, adoptant un tempo idéal d’allant et d’élégance pour accueillir la Coréenne Sul Yoon, 26 ans (…)
(…) et le finale, donné en liaison fusionnelle – et simultanée – avec le premier violon, le chef et tout l’orchestre, mènera à un état d’euphorie indescriptible, emportant toute la salle en un monde favorable et inconnu, follement joyeux. On était bien au-delà de la musique. Et on aurait voulu ne jamais en revenir.
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“It is incredible that they sound so fresh! The ORCW introduced Haydn’s Cello Concerto No. 2 in D major for the 13th time this week, adopting a perfect energetic, yet delicate tempo with good cheer to welcome the 26-year-old Korean, Sul Yoon …
… and the finale, delivered a fused, simultaneous connection between the first violin, the conductor and the full orchestra, building to a state of unimaginable euphoria, transporting the entire audience to a lovely, undiscovered world of wild joy. We were in a place way beyond music. And we would have liked to stay there forever.”
La Libre, Martine D. Mergeay, 22/05/2022
Le chef Vahan Mardirossian, l’art de la délicatesse.
Une sorte de bonhomie assortie d’une grande délicatesse et d’une manière très fine de s’adapter à chacun des candidats qu’il accompagne : en dirigeant l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, Vahan Mardirossian, directeur musical de l’orchestre depuis janvier 2020 et chef pour ces demi-finales du Concours Reine Elisabeth, a mené cette mission compliquée avec brio (…) J’ai réussi à obtenir une souplesse de l’orchestre qui est exemplaire. Il réagit au quart de seconde, donc au moindre petit changement du soliste.
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“The conductor Vahan Mardirossian, the art of delicacy
He has a kind of warmth combined with great delicacy and a very astute way of adapting to each of the candidates he conducts. As the Royal Chamber Orchestra of Wallonia’s musical director (in position since January 2020) and the conductor for the semi-finals of the Queen Elisabeth Competition, Vahan Mardirossian completed this complicated mission with brilliance. He achieved exemplary flexibility in the orchestra, reacting instantly to the slightest change in the soloist’s performance.”
Gabriel Moury, Le Soir, Saturday 21 and Sunday 22 May 2022
Le Soir, Gabriel Moury, sa 21 et di 22/05/2022
(…) Une fois de plus, on ne peut qu’admirer la souplesse et l’agilité avec laquelle le chef arménien Vahan Mardirossian adapte sa direction aux intentions de chaque candidat (…)
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“… Once again, you can have nothing but admiration for the flexibility and agility with which the Armenian conductor Vahan Mardirossian adapts his direction of the orchestra to suit the intentions of each candidate …”
Le Soir, Serge Martin, 20/05/22
“… Excellent dialogue with the orchestra …
… Before now, she has already performed with this orchestra, which forms part of the musical elite …”
De Standaard, Jasper Croonen, 20/05/2022
« (…) introduit avec art par l’ORCW placé sous la direction de Vahan Mardirossian. »
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“… deftly introduced by the ORCW under the direction of Vahan Mardirossian.”
La Libre, Martine D. Mergeay, 17/05/2022
« Vision alternative et cohérente, et soutenue comme tel par un orchestre en état de grâce. »
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“An alternative and coherent vision, which was fully supported by this unstoppable orchestra.”
La Libre, Martine D. Mergeay, 17/05/22
« (…) la légèreté répond bien à la direction de Vahan Mardirossian, qui emmène l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie avec bonhommie. »
« (…) une grâce à laquelle répond l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie de manière harmonieuse »
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“… the lightness works well under the direction of Vahan Mardirossian, who leads the Royal Chamber Orchestra of Wallonia with bonhomie.”
“… a grace to which the Royal Chamber Orchestra of Wallonia responds harmoniously.”
Le Soir, Gaëlle Moury, 16/05/2022
Une première pour le chef Vahan Mardirossian, une dernière pour l’altiste Anne Pingen.
Ultime répétition à Mons ce vendredi avant le Reine Elisabeth, un des plus grands concours musicaux au monde! Depuis 21 ans, l’ORCW en accompagne les demi-finales.
SUDINFO, La Province, C.T., 14/05/2022
« Retour de l’opéra au théâtre royal ce samedi.
La musique, le spectacle reviennent peu à peu enchanter nos vies ! (…) Depuis quelques années, le festival Midsummer Mozartiade passe par Mons. D’excellents chanteurs et chanteuses lyriques fous de Mozart et l’ORCW (Orchestre Royal de Chambre de Wallonie) allient leurs talents pour présenter un opéra du grand Wolfgang Amadeus ».
La Province, Corinne Toubeau, 30 juin 2021
« Le premier opéra post-covid est montois.
La culture reprend ses droits dans la Belgique déconfinée. Et la Cité du Doudou ne reste pas sur le quai. L’Orchestre royal de Chambre de Wallonie (ORCW) propose ainsi le premier opéra avec public post-covid (…) Avant de débarquer à Mons ce samedi, l’opéra vient d’être joué à quatre reprises à Bruxelles. Et les critiques sont excellentes. La Libre Belgique évoque une « distribution ardente ». Dans la presse spécialisée, Klassiek Centraal parle de « classe mondiale » tandis que Cultuurpakt décrit cet opéra comme « merveilleusement beau. »
DH, Grégoire Lalieu, 29 juin 2021
« L’avant-dernier opéra de Mozart aux Martyrs : scène sévère, distribution ardente.
(…) Outre l’excellent Shadi Torbey, luxueux tenant du modeste rôle de Publio, on retrouve un premier duo convaincant et stylé avec la mezzo Julie Vercauteren et la soprano Laura Telly-Cambier (…) Notons encore les débuts prometteurs de Gabriel Hollander à la tête de l’Orchestre royal de chambre de Wallonie… »
La Libre Belgique, MDM, 24 juin 2021
« Tito humain dans une production divine.
(…) Bien ensemble
On le sait, cette production fait pâlir de nombreuses autres productions dans les plus grandes maisons d’opéra du monde. Tous les ingrédients étaient là : le talent d’acteur, la maîtrise de la voix, le juste équilibre avec l’orchestre, une belle acoustique et la joie de vivre d’être là et dans ces circonstances surtout de pouvoir se produire à nouveau. »
« Depuis cinq ans, le festival Midsummer Mozartiade fait la part belle aux opéras de Mozart. Après Don Juan, Cosi Fan Tutte, Les Noces de Figaro et L’Enlèvement au Sérail, le festival bruxellois humera l’atmosphère de la Rome antique, avec pour production centrale l’opéra « La Clemenza di Tito » de Mozart. Cet opéra sera interprété dans l’intimité du Théâtre des Martyrs, par de jeunes chanteurs professionnels, belges pour la plupart, parmi lesquels Shadi Torbey, un habitué du festival, et Pauline Claes, soutenus par l’Orchestre royal de chambre de Wallonie.
RTBF.be – MUSIQ3, Céline Dekock, 19/05/2021
« Tempo idéal, transparence de l’orchestre (…) »
La Libre Belgique, Martine Dumont-Mergeay, 15 et 16/05/2021
« L’entente avec Frank Braley et l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie est excellente, et les musiciens nous offrent ensemble un des sommets mozartiens de la semaine. Et, tout simplement, un vrai, beau moment de musique. »
La Libre Belgique, Nicolas Blanmont, 16/05/2021
« Un candidat très expressif, très investi, comme il l’avait déjà démontré lors de la première épreuve, qui a proposé un Concerto n°17 en sol majeur de Mozart dans un vrai dialogue avec !’Orchestre de Chambre de Wallonie, dirigé par Frank Braley. »
Le Soir / Culture, 11/05/2021, Gaëlle Moury
« Malgré les regards complices et un vrai dialogue avec l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie dirigé par Frank Braley (…) »
Le Soir / Culture, 12 et 13/05/2021, Gaëlle Moury
« Pour l’ORCW, c’est une longue histoire d’amour avec le Concours Musical international Reine Elisabeth. « Nous avons le bonheur d’être systématiquement réinvités depuis 20 ans pour les sessions violon, piano ou violoncelle », dament nos deux interlocuteurs. « Depuis 1991, nous sommes sélectionnés pour les demi-finales. Chaque année, n’importe quel orchestre de chambre international pourrait prendre notre place, mais malgré la concurrence internationale, nous sommes toujours pris et nous en sommes fiers ! » (….) le Concours Reine Elisabeth est sans doute l’un des plus prestigieux concours au monde – oui, soyons chauvins ! – Créé en 1937, il attire les meilleurs jeunes musiciens du monde qui se sont déjà illustrés lors d’autres concours. Le remporter, c’est s’assurer une brillante carrière internationale à l’image de Frank Braley, qui a remporté ce concours en 1991 et dirigera l’ORCW pour les demi-finales du 10 au 15 mai prochain ».
Vlan, Patrick Tierce, 12/05/2021
» L’introduction de l’orchestre est joliment enlevée et accueille avec naturel le jeu très doux du soliste, doux mais lumineux, perlé et propulsé par une clarté agogique du meilleur effet sur les échanges avec l’orchestre. L’adagio, très lent, sera mené dans ses sonorités plus douces encore, et au comme dans une réminiscence lointaine et douloureuse, option soutenue avec tact par le chef et ses musiçiens, »
« Après l’introduction orchestrale, vive et pimpante (…)
La Libre Belgique, Martine Dumont-Mergeay, 14/05/2021
L’ORCW répète à Saint-Ghislain avant le concours Reine Elisabeth
L’ORCW, basé au jardin du Mayeur à Mons, accompagnera la semaine prochaine les douze demi-finalistes du concours Reine Elisabeth à Bruxelles. Mais pourquoi les musiciens répètent-ils à Saint-Ghislain ? « Nous avions besoin d’un grand espace pour répéter avec 30 musiciens », nous répondent en coeur Régine Henriette, chargée des relations publiques, et Laurent Fack, directeur général de l’ORCW. « Vu les conditions actuelles, faire répéter 30 musiciens était impossible en nos locaux. Les musiciens doivent être strictement écartés d’au moins 1m50 et nous n’aurions pu travailler qu’avec 17 musiciens. Nous avons cherché diverses salles pour répéter et finalement c’est Jérémy Bricq, échevin à Saint-Ghislain, qui nous a proposé ce foyer culturel où la distanciation est possible ».
La Province, Patrick Tierce, 07/05/2021
Le chef d’orchestre n’a pratiquement connu que le confinement
« … nous continuons à travailler. Nous avons diffusé des concerts en streaming et sur la télévision locale, Télé MB. Nous enregistrons. Mais nous avons besoin de retrouver le public, c’est lui qui fait le concert »
DH, G. La, 18-19 avril 2021
Vahan Mardirossian, le concert et « l’after »
« Vahan Mardirossian est depuis 2020 à la tête de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et chef principal du City Chamber Orchestra de Hong Kong, après avoir dirigé l’Orchestre de Caen pendant de nombreuses années. Figure majeure de la musique en Arménie, son pays natal, pianiste virtuose et fantasque, il a accompagné le violoniste Ivry Gitlis sur les routes, durant les 20 dernières années de sa vie. Est-ce auprès du vénérable maître, artiste exceptionnel, qu’il a acquis cette profondeur musicale et ce sens acéré de l’analyse ? Pour l’heure, il évoque la direction de l’orchestre Royal de Chambre de Wallonie, les défis et l’étonnante vitalité de cet ensemble. »
Classicagenda, interview par Flore Védry-Roussev, 15 mars 2021
« L’objectif du projet est d’utiliser la musique comme instrument thérapeutique et d’inviter
la culture au sein du milieu hospitalier. Depuis le 10 mars et jusqu’au 13 mars, des musiciens de l’ORCW jouent des extraits d’oeuvres de musique classique au sein de plusieurs services hospitaliers d’EpiCURA à Ath, Baudour et Hornu. »
La Libre Belgique, 13 et 14/03/2021
« Borinage: L’ORCW dans les hôpitaux d’Epicura pour une expérience de musicothérapie
La DH,
SUDINFO, La Province, C.T., 14/05/2022
CD « Tango » – Aparté
Pascal Contet, Paul Meyer & l’ORCW
100e anniversaire de la naissance d’Astor Piazzolla
« Les archets dansent avec cet accordéon plus argentin que jamais et les cordes de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie font merveille sous la baguette de Paul Meyer. » (Lire l’article)
L’Alsace / Culture – Loisirs / Musique – – 19/03/2021
CD « Double »
Michel Portal, Paul Meyer & l’ORCW
Double album – Outhere Music
Vertigineuse lecture de « L’Enlèvement au Sérail »
« À la tête de l’Orchestre royal de chambre de Wallonie, David Miller donne le ton dès l’ouverture, vive, transparente (pas trop le choix, ils ne sont que 21 musiciens mais perceptiblement motivés) et sensuelle, chargée d’une tension qui ne faiblira pas. Et la distribution est exceptionnelle. »
La Libre Belgique, Martine Dumont-Mergeay, 4 juillet 2019
L’orchestre, épreuve de vérité pour les candidats du Concours Reine Elisabeth
Au fur et à mesure des étapes, les violonistes sont accompagnés d’un orchestre. Rencontre avec Jean-Jacques Kantorow, le chef d’orchestre qui a accompagné les demi-finalistes.
Il accompagne les candidats de manière à la fois chaleureuse et douce, comme s’il s’effaçait pour les laisser briller totalement. Lors des demi-finales du Concours Reine Elisabeth, Jean-Jacques Kantorow dirigeait l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie dans les Concertos de Mozart, parmi lesquels les violonistes en lice devaient faire un choix. Un travail crucial, qui implique d’être entouré de musiciens solides et capables de s’adapter très rapidement. « Le r61e de l’orchestre dans ce genre d’épreuve, c’est de mettre les candidats au défi », explique Kantorow, lui-même violoniste émérite. « Ça montre aussi aux membres du jury les candidats qui sont déjà armés pour faire carrière car dans une salle, avec un orchestre quel qu’il soit, il faut jouer plus que ce qui est écrit sur une partition. Il faut savoir rajouter une nuance pour la spécificité de la salle et du concerto (…)
A l’appui et à l’impulsion
Le travail avec l’orchestre est en fait assez complexe (…) « C’est un travail extrêmement difficile, dans le sens où il y a un nombre limité d’œuvres. Il y a très peu de temps de répétition – beaucoup moins que lorsqu’on se trouve dans la configuration concert, où en plus il n’y a qu’une seule version de l’œuvre. Et il ne faut pas seulement un orchestre qui joue bien. Il doit aussi être capable de suivre à la lettre, à la (micro-)seconde le candidat qui est en train de jouer. En fait, ce n’est pas simplement accompagner. A partir du moment où on accompagne, on est derrière, on est démotivé. Mais l’orchestre se doit d’être inspirant pour le candidat. Le candidat va définir son idée, son concept de l’œuvre, c’est-à-dire son tempo, ses idées musicales, ses prises de risque, mais après, l’orchestre se doit, avec 1es éléments dont il est en possession après la répétition, de l’inspirer pour lui donner la carrure, l’assise et la confiance dont il a besoin pour jouer. C’est là aussi que les membres du jury peuvent juger. Car ils vont juger du candidat qui est capable d’écouter l’orchestre, de faire de la musique de chambre, c’est-à-dire de s’inspirer de ce que fait l’orchestre pour être lui-même motivé. » Inspirer le candidat, mais aussi… le soutenir et limiter la casse dans le cas où il commettrait une erreur. »
Le Soir +, Gaëlle Moury, 16/05/2019
Remarquable soirée mardi à Saint-Matthieu, dans le cadre du festival pascal Musique & Culture, où le chef initialement annoncé a fait le choix de se mettre au clavecin et de laisser la direction à l’un des solistes, l’altiste Gérard Caussé. Si TOUTE formation musicale est réputée être un modèle social à taille réduite, avec ses amitiés, ses inimitiés, sa hiérarchie codifiée et ses chocs d’ego, l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et son chef titulaire, Frank Braley, font figure d’OMNI (objet musical non identifié) dans cet univers impitoyable. Car c’est bien d’altruisme ou pour le moins d’estime réciproque dont ont fait preuve ces musiciens, également concertistes de grande renommée.
Soliste (…), Gérard Caussé a construit avec sa quinzaine de commères et compères une pièce d’une grande intimité sonore, sans surcharge, aérée et altière, faisant danser sans forfanterie sa ligne instrumental en symbiose avec celle de ses associés.
Dernières Nouvelles d’Alsace, B. FZ., 11/04/2019
Formation de belle réputation, aguerrie et au répertoire éclectique allant de Bach à la musique du XXIe siècle, ce qui la différencie de bien de ses consœurs, la phalange belge semble être en symbiose parfaite avec son chef depuis le début de leur collaboration, il y a un lustre, à tel point que celui-ci sait la laisser naviguer sans capitaine quand besoin.
C’est donc de l’archet et du regard que le premier violon, Jean-François Chamberlan, a mené les seize musiciens sur le chemin d’une partition à la fois connue du plus grand nombre … et inconnue de tous !
Dernières Nouvelles d’Alsace, B. FZ., 13/04/2019
60e anniversaire de l’ORCW
RTBF, Pierre Wuidart, 19 décembre 2018
DH, 9/11/2018
Mons-Centre : ce qu’il ne faut pas rater lors du week-end commémoratif
« Au Théâtre royal sera donné samedi soir un grand concert de la Libération. L’ensemble canadien Les Violons du Roy et l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie s’uniront pour rendre hommage aux soldats canadiens décédés chez nous. »
L’homme qui affrontait le silence
Hewar : « dialogue »
« Ce sera plutôt de la musique de chambre. On va “zoomer” de notretrio à l’orchestre et inversement. Et il y aura une vraie prise de risque ! » Le clarinettiste syrien Kinan Azmeh revient, ce samedi 3 juin, à Bozar, avec les compères de son ensemble Hewar (« dialogue »), la viole d’amour Jasser Haj Youssef et la soprano Dima Orsho. Le trio proposera ses propres compositions et autres improvisations aux cordes de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie. Un dialogue interculturel qui n’est pas une première pour l’ORCW. L’orchestre avait déjà collaboré avec l’oudiste tunisien Anouar Brahem, en 2015, et avec la chanteuse bruxelloise d’origine marocaine Laïla Amezian, en 2014. Ce concert intime ravit en tout cas Mohamed Ikoubaân, le directeur du centre culturel nomade Moussem (soutenu par le gouvernement flamand), qui a joué les entremetteurs, cinq ans après avoir découvert Kinan Azmeh à Beyrouth. « Pour citer Foucault, il faut créer des oasis pour que les gens se découvrent. A Bruxelles, 60 % de la population vient d’ailleurs et ne partage pas forcément le référentiel belge.Il faut élargir le cercle et inclure les expressions en présence dans l’offre artistique de la ville et du pays. » Dont acte. (Lire l’article)
Le Vif – L’Express, Xavier Flament, 02/06/2017
Pour améliorer la performance des musiciens lors du Concours Reine Elisabeth, des chercheurs de l’unité « Forme et fonctionnement humain » à la Haute école Louvain en Hainaut (HELHa) scrutent les gestes des musiciens et leur proposent des pistes de réflexion pour faciliter leur travail.
Radio France Internationale (RFI), émission « Vous m’en direz des nouvelles » de Jean-François Cadet, reportage de Joana Hostein, 29 mai 2017
Contre les horreurs de la guerre en Syrie, le clash des civilisations l érection de murs : une clarinette… Celle de Kinan Azmeh, qu’il fait dialoguer le 3 juin avec l’ORCW.
« Il y a beaucoup de choses que la musique ne peut pas faire. Ma clarinette ne peut pas arrêter une balle, libérer un prisonnier politique. Elle ne peut rien contre toutes sortes de violences. Mais ce qu elle sait faire, c est inspirer les gens ouvrir leur esprit. Et cela, heureusement, c’est contagieux ». Kinan Azmeh.(Lire l’article)
L’Echo, Xavier Flament, 27/05/2017
Concours Reine Elisabeth : un parcours sans faute
Il faut insister une fois encore sur la qualité du travail de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et de son directeur musical Frank Braley : s’ils n’avaient apparemment que deux concertos de Haydn à jouer en alternance cette semaine (treize fois le ré majeur, onze fois l’ut majeur), les Montois ont réussi en réalité à jouer vingt-quatre concertos différents, tant ils ont voulu et su s’adapter aux spécificités (tempi, dynamiques, leadership ou non) de chacun des vingt-quatre demi-finalistes.
L’ORCW qui, les années précédentes, avait parfois pu sembler de niveau inégal, a incontestablement bénéficié du fait d’être dirigé non plus par des chefs invités (aussi talentueux soient-ils) mais par son directeur musical. Un directeur musical qui sait de quoi il s’agit puisqu’il a lui-même remporté le Concours en 1991. (Lire l’article)
La Libre.be, Nicolas Blanmont, 22/05/2017
Concours Reine Elisabeth : Formidable Haydn du Biélorusse Ivan Karizna
C’est à un tempo particulièrement soutenu que Frank Braley et l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie – qui seront quelques minutes plus tard ovationnés par un Studio 4 debout, Reine Mathilde comprise – attaquent l’introduction du désormais familier concerto en ut majeur de Haydn. (Lire l’article)
La Libre.be, Nicolas Blanmont, 20/05/2017
Demi-finale du Concours Reine Elisabeth 2017 : un écho des prestations du mercredi 17 mai
« Cette session d’Orchestre de ce mercredi se termine par un tonnerre d’applaudissements pour Frank Braley et l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, qui, il faut le rappeler abat un travail phénoménal, avec un raffinement digne des plus grands Orchestres internationaux. » (Lire l’article)
rtbf.be, Laurent Graulus, 18/05/2017
Demi-finales du Concours Reine Elisabeth : Haydn et Braley font leurs débuts
« Vingt-six ans après, Frank Braley est de retour en demi-finales au Concours Reine Elisabeth ! Mais le pianiste français officie cette fois en sa qualité de chef de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, en belle forme pour accompagner les survivants du deuxième tour dans leur concerto de Haydn ou de Boccherini. » (Lire l’article)
La Libre.be, Nicolas Blanmont, 15/05/2017
Demi-finale du Concours Reine Elisabeth : Un joli début de demi-finale avec un ORCW très en forme
« Mais Shiao He a aussi la sobriété qu’on attend dans Haydn: il n’abuse pas du vibrato. Son a1ticulation et son timing sont impeccables: c’est particulièrement marquant dans le 3e mouvement, emmené à vive allure par le chef Frank Braley. Bel équilibre aussi entre l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie (ORCW) et Shia He qui joue souplement, mais qui a aussi sacrément du son ! Un joli début de demi-finale avec un ORCW très en forme, et un beau candidat pour ouvrir cette demi-finale ! (Lire l’article)
MUSIQ3, Laurent Graulus, 15/05/2017
Comment s’est passé le 2e jour de la Demi-finale à Flagey ?
Tous les jours de cette semaine, Laurent Graulus vous livre un compte rendu de chaque session de la demi-finale du Concours Reine Elisabeth.
« Le 3e mouvement « Allegro molto » est cette fois respecté à la lettre par l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, dirigé par un Frank Braley très impliqué« . (Lire l’article)
rtbf.be, Laurent Graulus, 17/05/2017
Concours Reine Elisabeth: Yan Lievionnois, la défonce maitrisée
« …les sonorités peinent à s’épanouir et il faut toute l’attention de Frank Braley pour que le lien s’établisse avec l’orchestre (…) des sonorités rondes, douces, modérément vibrées, portées par un orchestre inspiré et fraternel » (Lire l’article)
La Libre.be, Martine Dumont-Mergeay, 17/05/2017
Concours Reine Elisabeth : « Chacun(e) sa Chaconne », c’est prouvé
« Adagio se présente comme un moment de ferveur qui ne mettra que plus en valeur un finale débridé, pris à tombeau ouvert, avec le premier violon et le chef – tous deux au taquet– pour parapet de sécurité »(Lire l’article)
La Libre.be, Martine Dumont-Mergeay, 17/05/2017
Concours Reine Elisabeth: Brahms, Janus à deux têtes
» …en dépit de belles sonorités (l’instrument est un superbe Riccardo Antoniazzi) et d’une technique assurée, la conduite est flottante, pour ne pas dire molle, en tous cas dénuée d’agogique (contrairement à l’orchestre, et le contraste se remarque clairement). (Lire l’article)
La Libre.be, Martine Dumont-Mergeay, 17/05/2017
Des Kinés entament des recherches sur l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie
« Deux étudiantes en kinésithérapie à la Haute école Louvain en Hainaut (HELHa) ont entamé un travail de recherche sur l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie (ORCW) dans le cadre du Concours Reine Elisabeth. L’objectif est d’évaluer l’impact du concours sur la santé du musicien professionnel, selon un communiqué diffusé lundi.
L’Orchestre royal de chambre de Wallonie accompagne les candidats lors des demi-finales du Concours Reine Elisabeth du 15 au 20 mai, une véritable épreuve d’endurance dans le domaine musical.
Après une première phase d’analyse de leurs mouvements à l’aide de caméras 3D, les deux étudiantes ont effectué des mesures précises sur les musiciens avant le concours. Elles effectueront ces mêmes tests de force et de souplesse après la compétition, a expliqué Mikaël Scohier, docteur en sciences de la motricité ». (Lire l’article)
rtbf.be, d’après Belga, 15/05/2017
Des kinés au chevet du Concours Reine Elisabeth
« Pour l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie (ORCW() qui devra donc s’exécuter 24 fois jusqu à samedi inclus l exercice met à rude épreuve muscles et tendons Deux étudiantes en kinésithérapie à la Haute école Louvain en Hainaut (HELHa) en ont profité pour lancer un travail de recherche afin d’évaluer l impact du concours sur la santé de ces musiciens professionnels (…) Il s agit donc bien de transposer des techniques éprouvées en milieu professionnel à l ORCW. L’objectif est d évaluer l’impact du concours sur la santé des musiciens et de détecter les douleurs pertes de souplesse de force ou encore de dextérité après une exposition importante, a encore indiqué Mikaël Scohier (docteur en sciences de la motricité). Et de mieux cibler les traitements et les échauffements à prévoir ». (Lire l’article)
L’Echo, d’après Belga, 16/05/2017
Le musicien, cet athlète qui s’ignore
Les musiciens de l’ORCW sont les cobayes d’une étude des chercheurs de la Haute école Louvain en Hainaut (HELHa). Comment l’orchestre qui accompagne les candidats du Concours Reine Élisabeth parvient-il à jouer 6 heures par jour ? Des chercheurs scrutent l’état physique des membres de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie. (Lire l’article)
Le Soir, Le Soir Plus, Sandra Durieux, 16/05/2017
Une étude inédite lancée sur la santé des musiciens
« C’est la thématique de la santé du musicien professionnel qui a été ciblée. Ce sujet a la particularité d’être assez peu étudié dans le monde académique si on le compare, par exemple, au cas de la santé des élites sportives, qui sont l’objet de toutes les attentions. Dans le but de permettre à ses musiciens d’exercer leur art tout en minimisant les risques de pathologies associées, l’ORCW dispose déjà d’une kinésithérapeute attitrée depuis plu-sieurs années. Les unités de recherche de la Haute école Louvain en Hainaut (HELHa) possèdent, quant à elles, une réelle expertise dans le domaine de l’évaluation ergonomique, traditionnellement associée au travail en industrie et à des thématiques telles que le bien-être des travailleurs, les risques d’apparition de TMS (Troubles musculo-squelettiques), etc. li s’agit donc bien de transposer des techniques éprouvées en milieu professionnel à l’ORCW. Afin d’objectiver l’évaluation ergonomique, la collaboration du FFH avec le Cerisic s’est révélée fructueuse: il s’agit en effet d’utiliser des nouvelles techniques comme des caméras 3D pour aider l’ergonome à affiner son diagnostic ». (Lire l’article)
La Dernière Heure / Les Sports, C.Ti , 16/05/2017
« Frank Braley et l’ORCW bien décidés à faire de Mons le centre du monde (…)
Plus que jamais, l’ensemble classique, placé sous la direction de Frank Braley, prendra ses quartiers dans la cité du Doudou (…) L’ORCW n’hésite pas à inviter de grands noms comme Gérard Caussé ou le Quatuor Modigliani. Celui-ci ouvrira le concert du 23 février… » (Lire l’article)
Vlan -Jeudi-Soir, SZ, 22/02/2017
« Ne pas faire peur … et créer le désir »
Directeur musical de l’Orchestre royal de chambre de Wallonie, Frank Braley, a concocté une saison 2017 fidèle à sa passion pour l’école buissonnière. Classique mais pas trop (…) « Je suis de nature curieuse, conclut Braley. Le fait de défendre la musique de chambre n’empêche pas de faire l’école buissonnière.Je crois que c’est l’une des manières de séduire une partie du pu blic qui, souvent par timidité, croit que le classique n’est pas pour lui.. » (Lire l’article)
L’Echo, Stéphane Renard, 14/02/2014
Qui dit gala d’ouverture dit Orchestre Royal de Chambre de Wallonie. L’ORCW a une fois de plus ouvert le bal. Si l’ensemble avait eu l’honneur d’être dirigé par Vladimir Cosma l’an dernier, l’accent a été mis sur les musiques chantées pour cette édition. Le phénomène « La La Land » n’est pas loin. Hier soir, le théâtre a ainsi vibré aux notes de « Singing in the rain » ou « Moon River ». Enchanteur ! (Lire l’article)
La Dernière Heure – Les Sports, G. La, 11 & 12/02/2017
« C’est l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie qui a ouvert en musique et en chansons de cinéma, le Festival International du Film d’Amour de Mons ce vendredi soir (Lire l’article)
La Province.be, Pierre Germay, 11/02/2017
La 33e édition du Festival International du Film d’Amour s’ouvre vendredi soir.
« La soirée inaugurale sera également musicale avec la prestation de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, qui interprétera cinq bandes originales tirées de grands classiques du cinéma… » (Lire l’article)
RTBF.be, Belga, 10/02/2017
Comme faire l’école buissonnière
« Je trouve très rafraîchissant de sortir de sa petite routine, de son enclos classique, d’êtêre un peu bousculé. C’est comme faire l’école buissobnière (…) Avec Anouar Brahem, on entre dans un autre espace temporel. Il fait le pont entre différentes époques…
Frank Braley
Le Courrier de l’Escaut, F.D., 26/01/2017 (Lire l’article)
La musique leur fait tourner la tête…à 360° – Musique en classe
A l’initiative de l’Echevinal de l’Enseignement, en collaboration avec l’ORCW, un programme d’initiation à la musique classique a été mis en place à Frameries voici déjà 3 ans. Ce mardi 17 janvier, des musiciennes de l’ORCW ont visité les classes de 4e primaire des écoles communales afin de faire découvrir aux enfants leur instrument et la « grande » musique.
La seconde étape sera le spectacle « Un clown au pays de la musique classique – Le classique sort du cadre », qui aura lieu le 5 février à l’Académie de musique de La Bouverie (Lire l’article)
La Province, Corinne Toubeau, 18/01/2017
« …les nombreux spectateurs comprennent que ce concert va être inestimable, habillant les tubes de Machiavel pour en faire des bijoux. Les craintes sont reléguées aux oubliettes et la notion orchestrale trop souvent galvaudée ces derniers temps par un effet de mode qui n’a que l’originalité du coup marketing. Ici, l’orchestre reprend tout son sens, avec une réelle valeur ajoutée. Plus loin encore, une dimension supplémentaire… »
Branchés Culture, ALEXISCULTURE, 20/07/2016
Bruxelles, cet été, est à la noce avec Mozart
TV5 MONDE, Michèle Jacobs-Hermès, 08/07/2016
Explication du principe de ce casque virtuel à 360° :
Une performance hors des sentiers battus
L’Orchestre de Chambre sort en club
Le Soir, Caroline Dunski, 18/04/2016
La Libre Belgique, C. Ti., 17/03/2016
Expérience inédite entre musiciens et chercheurs montois
RTL INFO, agence Belga, 14/03/2016
(cliquer sur l’image ci-contre pour l’agrandir)
Le geste du musicien sous la loupe des chercheurs belges
France Musique, Suzana Kubik, 16/03/2016
Expérience inédite entre musiciens et chercheurs montois
La Dernière Heure Mons, C. Ti., 16/03/2016
Expérience inédite entre musiciens et chercheurs montois
La Dernière Heure Charleroi, C. Ti., 16/03/2016
Expérience inédite entre musiciens et chercheurs montois
Avatar joue de l’alto pour capturer le talent
La Province, C. T., 15/03/2016
(cliquer sur l’image ci-contre pour l’agrandir)
Les mouvements d’un musicien en 3D
Le Soir, Sandra Durieux, 15/03/2016
(cliquer sur l’image ci-contre pour l’agrandir)
Les mouvements d’un musicien en 3D
Le Soir.be, Sandra Durieux, 15/03/2016
Mons : des musiciens de haut vol, cobayes d’une expérience scientifique
rtbf.be, Charlotte Legrand, 14/03/2016
L’UMons équipe les musiciens de capteurs pour comprendre l’excellence de leurs gestes
RTL INFO, agence Belga, 14/03/2016
« Les sept paroles du Christ » de Théodore Dubois – « Un beau moment de spiritualité »
Crescendo-magazine, Bruno Peeters, 14/03/2016
« Les sept paroles du Christ » de Théodore Dubois – Les Grandes Heures de La Cambre
Arts et Lettres, le réseau des Arts et des Lettres en Belgique et dans la diaspora francophone, communiqué par Deashelle le 12/03/2016
Un cours pour ouvrir les petites oreilles
La Province, Corinne Toubeau | Mercredi 24 février 2016
Sous la baguette de Vladimir Cosma
Le Soir, Caroline Dunski | 22/02/2016
Méta-Requiem / « …les cordes harmonieuses… »
ConcertoNet | Sébastien Foucart |
L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie sur la brèche
L’avenir, Jean-Pierre Goffin | Lundi 28 septembre 2015|
Concours Reine Elisabeth. La qualité des candidats est soulignée par un orchestre métamorphosé (…) Notre plaisir est renforcé par la prestation de l’Orchestre Royal deChambre de Wallonie sous la conduite (il dirige sans baguette) de Paul Meyer (…) l’ensemble montois semble réellement métamorphosé : de l’élan, une juste respiration, des contrastes élégamment dosés lui permettent d’apporter dans les mouvements rapides une répartie vivante aux sollicitations des solistes tout en offrant de beaux phrasés aux merveilleuses rêveries des mouvements lents »
Le Soir, Serge Martin | 13 & 14 mai 2015
Viktor Lazlo était l’invitée de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie. Sa voix chaude et envoûtante a donné une saveur particulière au concert. Jazz et musique classique se sont mélangés le temps d’une soirée au Théâtre Royal de Mons.
levif.be, David Fourmanois | 03/04/2014
Les jeunes solistes seront mis à l’honneur dans les festivals classiques en Hainaut
RTBF.be | MUSIQUE | mercredi 4 juin 2014 à 13h57
« Orchestre Royal de Chambre de Wallonie: le passage de témoin »
Frank Braley, nouveau Directeur musical de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie dès 2014
Augustin Dumay, Premier Chef invité jusque fin 2015
Thierry Vangulick pour la RTBF
Mozart par Augustin Dumay et l’ORCW : une exquise complicité
L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie triomphait dimanche soir à la basilique. Mené de main de maître par un Augustin Dumay en grande forme, il a subjugué le public qui ne s’attendait pas à tant de splendeurs. Certes, le programme y était pour beaucoup : d’abord l’admirable Romance pour violon et orchestre de Dvorak… Mozart ensuite avec son Concerto pour violon KV 216 et la 29e symphonie KV 201. Là, l’éblouissement fut complet ! Le concerto, svelte, incisif, turbulent et drôle par instants, nous révélait le Mozart épuré de ses rondeurs excessives, le Mozart que des maîtres tels qu’Harnoncourt, Immerseel ou Gardiner ont totalement redessiné. Le soliste – et chef – s’intégrait avec une évidente complicité dans le jeu orchestral sans jamais jouer au virtuose ni chercher à dominer.
Pourtant, quelle précision ! Quelle somptueuse cadence à la fin de l’allegro moderato ! Le rondo final d’où jaillissait le fripon Quolibet strasbourgeois dans un tempo imprévu, apportait les rayons de soleil que le ciel refusait obstinément…La symphonie en La majeur, racée, dynamique, dramatique à souhait, peignait un portrait fidèle d’un Mozart de 18 ans… qui avait déjà dépassé les furieuses humeurs du Sturm und Drang. Superbe élocution du thème initial avec son délicat vibrato d’archet, remarquable tenue de l’andante qui progressait rondement mais « cantabile », menuet frétillant et idéalement dansant, finale endiablé d’une étincelante précision. Cela nous rappelait l’excellence d' »Anima Eterna » l’an passé. C’est dire !
En bis, A. Dumay et l’Orchestre de Wallonie donnaient un fragment de « l’Arlésienne » à la mémoire de Brigitte Engerer. Somptueux !
L’Union – L’Ardennais (France), F. A., 27 juin 2012 Flâneries Musicales de Reims, 24 juin 2012
Mozart sourire
« Le plus ancien orchestre de chambre de Belgique, frappé du sceau royal, bénéficie depuis 2003, de la dynamique et de la renommée de son Directeur musical et Chef principal, Augustin Dumay. Ses riches sonorités, chaleureuses et opulentes, confèrent à la Symphonie n° 29, en la majeur, occupant toute la seconde partie de la soirée, un attrait tout particulier. La direction d’Augustin Dumay fouille cette partition de jeunesse avec une vitalité, une vigueur et un sens aigu des nuances. Il en souligne en particulier les contrastes dynamiques, ménageant ici ou là un crescendo ou un diminuendo expressifs. Il joue avec esprit sur les échos et les échanges entre pupitres, les vents, cors et hautbois, jetant quelques beaux défis aux cordes (…) La belle opulence sonore de l’orchestre trouve en Augustin Dumay un chef volontaire, mais aussi un soliste au timbre solaire et à la technique parfaite (…)
Classic Toulouse / Grands interprètes, Serge Chauzy, 22 juin 2012
Fête de la Musique, Toulouse, Halle aux grains, 22 juin 2012
« Les pendus – De Gehangenen » / Théâtre musical
5 pays. 25 représentations.
« Requiem pour une pensée Libre » (Le Soir et La Libre)
Concept : Josse De Pauw & Jan Kuijken / LOD Production
Une création de LOD production (Gand), « De gehangenen – Les pendus« , dans laquelle l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie participe activement. Cinq partenaires de pays différents se sont associés à cette production internationale: le Koninkelijke Vlaamse Schouwburg (KVS), le Théâtre National de Bruxelles, le Grand Théâtre de Luxembourg, Le Maillon Strasbourg, Kunst Fest Spiele Herrenhausen (Hanovre), Vocaal LAB Nederland et l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie.
Les pendus, ce sont les incroyants qui se refusent à l’évidence et osent poser des questions à voix haute. Ils ne peuvent se résigner à ce qui est déjà connu ou ce qui est écrit. Ils s’investissent dans leurs recherches pour assouvir leur propre soif de connaissance. Nul ne reconnaît leurs efforts. Souvent, ils doivent payer de leur vie leur curiosité. Les musiciens de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie ont porté à la scène une composition de Jan Kuijken. Un récit musical où les tensions naissent de l’interaction entre l’orchestre, les acteurs, les chanteurs, et les enregistrements vocaux et sonores. Deux acteurs et trois chanteurs sont suspendus au-dessus des musiciens. Josse De Pauw a écrit pour eux une partie récitée et une partie chantée. Ce spectacle rend hommage à tous ces visionnaires bien pensants qui, en raison de leurs convictions, ont été pendus, martyrisés, brûlés ou enfermés et tente d’apporter les éléments de réponse à la question : « Serai-je pendu si je pense ? ».
« Un spectacle beau, cruel et bouleversant… ponctué d’humour, dans un époustouflant travail de lumières… Superbe ! ». LE SOIR Michèle Friche, 04.05.2011
J’ai vu une personne pleurer d’émotion. J’ai vu beaucoup de personnes se lever pour ovationner le spectacle, ce qui est plutôt rare lors d’une première. Cela veut dire qu’il s’est passé quelque chose. DE MORGEN 02.05.2011
La splendeur de ce spectacle tire son éclat d’interprétation de la musique par l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, dirigé par Etienne Siebens. Il est rare de rencontre un tel équilibre entre le jeu, le chant et la musique. Ce spectacle donne matière à réflexion. Mais qui l’écoute bien ressent un plaisir équivalant à entendre une excellente exécution d’une passion ou d’un requiem. Le mérite en revient à Jan Kuijken. Mais le père spirituel du concept est et demeure Josse De Pauw. Il s’attaque avec tant d’intensité et de bonheur au concept de base, qu’en partant d’un doute il trouve une vérité qui ne tue pas la pertinence de la culture romaine, mais la blesse. Il est à la fois poète et historien. KNACK 02.05.2011
Les Pendus est un momento mori dédié à tous ceux qui ont péri pour avoir eu des opinions à contre-courant. Josse De Pauw a opté pour une forme imposante, mais le texte domine l’ensemble. DE STANDAARD 02.05.2011
Josse De Pauw livre un spectacle magnifique. (…) L’humour est une des armes faisant passer ce vibrant plaidoyer pour la liberté. (…) Ces pendus cernés d’une étrange lumière trouent les cieux noirs. La magie de l’image, du son, suspend notre souffle: poésie et cruauté superposées, spectacle et philosophie mêlés. (..) Rien d’austère là-dedans, la philosophie selon la très belle écriture de Josse De Pauw (également metteur en scène) vole dans les cimes, les pieds ancrés dans l’humour de la terre. (…) Les Pendus sont un nouvel acte de foi dans la tolérance, l’union des communautés et la défense de la liberté de pensée qui prend toute sa valeur dans les temps qui courent. LE SOIR 03.05.2011
Les Pendus de Josse De Pauw, très beau mini-opéra sur le danger de penser. (…) Dès l’entame, l’image est forte, obsédante. (…) Le texte de Josse De Pauw est plein de chaleur et parle de nature, de sensualité, autant que de la nécessité de penser et de chercher. (…) Exemplaire de rhétorique et de sensualité, la partie vocale colle au texte, tenue par trois chanteurs (pendus, eux-aussi) aux timbres corsés, Janneke Daalderop, Soprano, Ekaterina Levental, mezzo, et Steven van Gils, ténor, et la voix ‘d’enfant’ off, de Lidewei Loot, révélation du casting. LA LIBRE BELGIQUE 03.05.2011
Autant par les voix splendides des soprano Janneke Daalderop, mezzo soprano Ekaterina Levental, ténor Steven van Gils et la tendre voix d’enfant si poignante de Lidewei Loot, autant par la partition inspirée de Jan Kuijken jouée tout en finesse par l’Orchestre de Chambre de Wallonie, ensemble de cordes sous la direction d’Etienne Siebens, autant par, en contraste, le soliste Jan Kuijken lui-même et son violoncelle véhément sur une bande-son inquiétante, autant par le jeu performant des acteurs Hilde Van Mieghem et Tom Jansen, autant par l’inventivité des effets lumineux d’Enrico Bagnoli… tout, absolument tout, concourt à faire de ce spectacle un des plus magistraux du duo concepteur Kuijken-de Pauw, celui-ci signant la mise en scène. Admirable. RUE DU THEATRE 06.05.2011
« Un moment de grâce absolu »
Trente ans de piano à La Roque-d’Anthéron – Un des plus grands festivals de piano en Europe
Cette édition anniversaire (30 ans) fut marquée par un moment de grâce absolu : l’Orchestre royal de chambre de Walonnie dirigé par Augustin Dumay avec Maria Joao Pires en soliste. Programme Mozart avec le Concerto pour violon n° 5 en ouverture – Dumay sublime de liberté et de poésie, l’orchestre précis et enthousiaste.
Dans le Concerto « Jeunehomme », Maria João Pires bouleverse l’auditoire tant elle incarne la musique. Des gradins combles, pas un bruit ne vient ternir un second mouvement en apesanteur. Le miracle est total.
« La Lettre du Musicien », Olivier Duchesne, 13/09/2010 Festival de piano de La Roque d’Anthéron, concert Mozart, 5 août 2010
« Ce soir à 19 h, un des plus prestigieux ensemble d’Europe, l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, donne un concert Mozart extraordinaire au Romanian Atheneum ».
Nine o’clock (Bucharest), Costin Tuchila, 21 décembre 2006 Concert au Romanian Athenaeum de Bucharest
« C’est un événement particulier, exceptionnel. L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie a joué deux soirs au festival de musique de Pékin. L’événement est de taile. Les invités du festival de Pékin sont soigneusement triés parmi les meilleurs du monde. La sélection est sévère et nombreux orchestres restent sur le carreau malgré les demandes répétées. Exceptionnelle, la prestation de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie le fut également à cause du cadre où elle a eu lieu. La salle de concert de la Cité interdite compte en effet parmi les meilleures du continent asiatique (…) Exceptionnelle, la prestation de l’ORCW le fut enfin pour le programme qui fut proposé. Si le lundi, l’orchestre wallon a livré un répertoire somme toute assez classique, consacré exclusivement à Mozart, la veille, il avait fusionné avec l’Orchestre Philharmonique de Chine pour exécuter une prestation polychrome sans faille sous la direction du chef d’orchestre Long Yu (…) Le mélange des genres et des cultures s’est fait presque naturellement, sans fausse note. Ce qui tient de la performance quasi physique : les deux orchestres n’ont eu que deux jours pour accorder leurs violons, les musiciens belges devant en outre digérer les 6 heures de décalage horaire qui séparent les deux pays ».
La Libre Belgique, Vincent Rocour, 24 octobre 2006 Festival de Pékin
« C’est la première fois qu’un orchestre belge est invité à ce rendez-vous qu’honore d’habitude le Philharmonique de Vienne ou la Scala de Milan. Dans une splendide salle de concert au coeur de la très symbolique Cité interdite. Augustin Dumay a voulu une véritable rencontre entre deux cultures : les musiciens sont mêlés, les gestes, synchrones, comme s’ils avaient toujours répété ensemble« .
Le Soir, Frédéric Soumois, 24 octobre 2006 Festival de Pékin
« Soirée exceptionnelle, ce dimanche soir à Pékin. La Cité interdite accueillait l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie devant trois ministres francophones ! (…) Il faut savoir, en effet, que cette immense résidence de la famille impériale, installée au coeur même de la ville, abrite depuis plus de 60 ans un hall de concert à l’acoustique extraordinaire. Et chaque année, le festival de Pékin, organisé en octobre, y invite les orchestres internationaux les plus renommés (…) Coup de chapeau, donc, à l’Orchestre de Chambre qui, à son tour, porte loin la renommée musicale de la Région. On peut d’ailleurs souligner que le concert d’hier soir, joué devant plus e 1200 personnes, a remporté un gros succès. Et qu’il se pourraient que des oeuvres chinoises entrent dans le répertoire de l’orchestre ou soient, en tout cas, prochainement proposées chez nous ».
Vers l’Avenir, Marie-France GIHOUSSE, 23 octobre 2006 Festival de Pékin
« Peu d’orchestres internationaux ont la chance de jouer dans la salle de concert de la célèbre Cité Interdite à Pékin. Ses portes se ouvertes à la Scala de Milan, au Philharmonique de Vienne ou à l’Opéra de Berlin. L’Orchestre de Chambre vient d’y ajouter son nom en lettres d’or ce week-end. Mieux, il a partagé la scène dans un concert mixte avec l’Orchestre Philharmonique de Chine ! Ce fut un grand moment pour le chef de l’ORCW, Augustin Dumay, qui se produisait au violon, mais aussi pour ses musiciens, dispersés dimanche dans un cadre mythique, au sein du Philharmonique de Chine. Le public a véritablement ovationné l’ensemble après une prestation éclectique« .
La Province, M. R., 24 octobre 2006 Festival de Pékin
« ORCW : l’accomplissement (…) Il ne s’agit plus de parler de « progrès » mais de « niveau » – international en l’occurrence -, soutenu par des musiciens de première valeur, totalement engagés (…) Le moment le plus intense, et accueilli par le public avec la plus grande reconnaissance, fut indéniablement la symphonie n°29, première « grande » symphonie de Mozart, dont l’orchestre – toujours mené par ce grand escogriffe de Dumay – offrit une version idéale de maîtrise, de vitalité et de simplicité (le maître mot) ».
La Libre Belgique, Martine Dumont-Mergeay, 4 octobre 2006 Concerts « Mozart » avec Maria Joao Pires, Ricardo Castro et Augustin Dumay au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, à Eindhoven et au Théâtre des Champs-Élysées à Paris
« La fantastique pianiste portugaise Maria Joao Pires est une personnalité musicale qui a conquis le cœur du monde (…) Le violoniste Augustin Dumay fait également partie des plus grands. Tout comme Pires, il joue de l’intérieur avec un énorme « cadre musical », une formidable tonalité, et un charisme qui nous met hors de souffle (…) Il dirige également un des plus anciens orchestres belges, l’estimable « Orchestre Royal de Chambre de Wallonie », qui sous son impulsion produit une merveilleuse palette de couleurs (…) Quel violoniste magistral, largement au-dessus de la partition, sublime de son, de pureté et d’expression (…) et cette parfaite intégration du soliste avec son ensemble, si intensément entremêlé, une union parfaite dans une architecture complexe, comme Mozart l’avait imaginé. Brillant (…) Quelle incommensurable profondeur et quelle intensité de tous les musiciens sur la scène, imposant ! ».
Eindhoven Dayblad, Cornelie Hoendervanger, 22 septembre 2006 Concerts « Mozart » avec Maria Joao Pires, Ricardo Castro et Augustin Dumay au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, à Eindhoven et au Théâtre des Champs-Élysées à Paris
« Un orchestre de qualité réuni autour d’un grand chef, Augustin Dumay. Un orchestre qui prend le monde comme chambre. Menton, Montpellier, Paris et Pékin bientôt. L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie joue sur les grandes scènes (…) Ses prestations sont de plus en plus convoitées par des événements musicaux de premier choix (…) Tous ces rendez-vous musicaux ont attiré 36.000 personnes. L’ORCW s’exporte bien mais son ancrage dans sa région d’implantation ne faiblit pas pour autant. Un quart de ses prestations se sont déroulées à Mons ».
Le Soir, Franca Rossi, 28/07/2006
« L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie est plein d’allant, moderne avec une touche de charme, comme une vision d’antan devenue intemporelle ».
Midi Libre, 22/07/2006 – Festival de Montpellier
« Augustin Dumay a profondément marqué le public qui a suivi les concerts d’été donnés au Concertgebouw d’Amsterdam (…) Avec Augustin Dumay au premier pupitre, les membres de l’orchestre sont parvenus à produire un beau jeu d’ensemble, aussi fusionnel que nuancé”.
De Telegraaf, 26/07/2005 – Concert au Concertgebouw (Amsterdam) du 24/07/2005
“Pour commencer, le Quintette en sol KV 516 de Mozart, duquel Dumay et quatre musiciens de l’orchestre firent une interprétation joyeuse et en toute sensibilité. Dans le Poème d’Ernest Chausson, où soliste et orchestre se répondaient pour finalement se rejoindre dans des harmonies fondantes et frémissantes, Dumay soutenait par des arcs-boutants parfaitement modelés, un discours en constante évolution. Dans le phrasé mordant et heurtant qui ouvre le Tzigane de Ravel, Dumay a prouvé qu’il savait aussi faire parler son violon. Cette ultime musique bohémienne lui donna l’opportunité de briller dans les octaves massives, d’entraîner l’orchestre vers des hauteurs gazouillantes et stridentes, de pétrir le tempo comme s’il s’agissait d’argile de modelage”.
De Volkskrant, 26/07/2005 – Concert au Concertgebouw (Amsterdam) du 24/07/2005
“Dernier jour, derniers tours. Hommage à l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie (…) Le président remerciera chaleureusement l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et Paul Goodwin pour leur contribution à cette semaine décisive. Standing ovation du jury”.
La Libre Belgique, Nicolas Blanmont et Martine Dumont-Mergeay, 17/05/2005 – Concours Musical International Reine Elisabeth de Belgique 2005 (violon)
“Et terminons sur un applaudissement pour l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie qui s’est donné une belle constance, a retrouvé de l’enthousiasme et un sens de la précision. Grâce à Paul Goodwin, son chef pour ce marathon et à Augustin Dumay, son directeur musical”. Le Soir, Michel Debrocq, 17/05/2005 – Concours Musical International Reine Elisabeth de Belgique 2005 (violon) “(…) de la façon dont Paul Goodwin dirige l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, on n’est pas prêt de s’en lasser : accentuations nettes, tempi vifs mais sans excès, vents sonores (et sûrs), caractérisation parfaite de chaque mouvement (superbe interruption turque dans le rondeau du la majeur), c’est un véritable bond qualitatif”.
La Libre Belgique, Nicolas Blanmont, 10/05/2005 – Concours Musical International Reine Elisabeth de Belgique 2005 (violon)
“Dans l’environnement idéal offert par l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie…“
La Libre Belgique, Nicolas Blanmont, 11/05/2005 – Concours Musical International Reine Elisabeth de Belgique 2005 (violon)
“Paris, Maison de Radio France. Giovanni Bellucci, piano. Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et Augustin Dumay, violon et direction. (…) la formation belge a fort opportunément marqué sa venue à Paris“.
Simon Corley, février 2005
“L’Orchestre de Chambre international et… montois. (…) le violoniste Augustin Dumay, en tant que chef principal de l’Orchestre Royal de chambre de Wallonie, travaille à la reconnaissance internationale de la formation implantée à Mons. Ses prestations dans des hauts lieux de culture comme Amsterdam ou le Festival de Menton, retransmis par plus de 180 stations de radio américaines ont été le fruit d’un travail d’exigence. Ce rayonnement international, l’Orchestre veut en faire profiter les Montois (…) Cet été, a été lancé, en plein air et au centre ville, le festival « Côté cour, côté jardin » (…) Outre la grande accessibilité à tous les publics, il mise sur la collaboration entre les jeunes musiciens du Conservatoire de Mons et ceux de l’orchestre. Augustin Dumay étant un des responsables de la Chapelle Reine Elisabeth, ces musiciens de haut niveau rejoindront le festival“.
Le Soir, Claire Bortolin, 06 et 07/11/2004
« Augustin Dumay signe un nouvel élan, en termes d’exigence et de notoriété : entraînement technique intensif, collaboration élective avec le prestigieux quintette Moraguès, engagements internationaux, politique de présence sur le terrain. (…) Dont acte, l’orchestre et son nouveau chef ont déjà donné, en guise de promesse, un bijou de concert”.
Le Vif l’Express, Martine Dumont-Mergeay, 09/2003
“Augustin Dumay, un nouvel enchanteur. Il a déjà résumé ses objectifs, à commencer par l’élargissement du répertoire et le travail en petite formation. (…) Tout fut précis, chatoyant et chantant : d’une remarquable cohérence et de cette grande élégance qu’Augustin Dumay transfuse à ses pairs (…) s’autorisant des moments d’émotion d’une exceptionnelle intériorité.”
Le Soir, Xavier Flament, 12/2003
« On admire l’engagement, la vigueur et la conviction de leur lecture commune (…) On sent un réel plaisir de faire de la musique ensemble (…) Dumay sait produire avec eux un son très cohérent, et on admirera plus d’une fois la netteté des attaques. ”
La Libre Belgique, Nicolas Blanmont, 12/2003
“Les Deux Interludes de Jacques Ibert ont donné lieu à un moment musical empreint d’une grande expressivité grâce à la qualité des interprètes. (…) L’orchestre a véritablement montré toute l’étendue de son talent, son souci des nuances, sa belle harmonie et son goût pour le jeu des éléments expressifs et dramatiques, des voix et des accents. Sans oublier les magnifiques dialogues entre violon, violoncelle et alto.”
Espagne, La Vanguardia, Jorge De Persia
“L’art dans toute sa splendeur. (…) L’orchestre a suscité un enchantement sonore des plus subtils. (…) Les musiciens belges ont interprété la Symphonie pour orchestre à cordes de Félix Mendelssohn-Bartholdy avec une discipline remarquable et une sonorité superbe.”
Allemagne, Nordbayerischer, Bayreuth, Hans Joachim Bauer
“Passons au concerto grosso d’Arcangelo Corelli Per la notte di natale, dont l’orchestre de chambre nous a proposé une interprétation époustouflante, loin de toute routine.”
Allemagne, Siburinwilder Bobe, Rottweil, Martina Holbein
“Saluons la performance fournie par l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie : en un temps minimal de répétition, celui-ci est parvenu à offrir aux candidats cette colonne vertébrale solide sur laquelle ils pouvaient s’appuyer, tout en s’adaptant avec le plus de souplesse possible aux différentes personnalités de chacun d’entre eux…”
Le Soir, Michel Debrocq Concours Musical International Reine Elisabeth de Belgique
“L’orchestre y fut de haute tenue : dynamisme, justesse, clarté des attaques et des articulations, y compris dans les vents…”
La Libre Belgique, Martine Dumont-Mergeay
“Quel bonheur de passer ensuite à Honegger et à Britten. Ici, les phrasés sont longs et expressifs. Ils conviennent à merveille à la personnalité lyrique et sensuelle de l’orchestre… Le chef gardait cependant le meilleur pour la fin : le vaste “Prélude et fugue” de Lutoslawski. Des pizzicati sauvages entrechoquent d’interminables glissandi d’angoisse. La fugue éclate mais sans perdre sa respiration souveraine… Le travail exceptionnel des timbres va jusqu’à désincarner les traits ou les habiller d’étranges couleurs lunaires. Superbe!”
Le Soir, Xavier Flament
“ L’ensemble plaît par sa cohésion et un style irréprochable et donne une exécution vive et colorée. Le violon solo s’exprime avec une rare élégance. L’ensemble belge joue le célèbre concerto avec vitalité et une beauté sonore inouïe. Le public exulte ! (…) Jean-François Chamberlan trouve le ton juste, tisse de somptueuses broderies et exprime d’un archet volubile et expressif des sentiments d’une poignante générosité. Parfaitement soutenus par ses collègues de l’orchestre, attentifs et coopératifs, l’interprète se livre entièrement et recueille de longs applaudissements” Suisse,
La Presse Riviera Chablais, Jean Cossetto Concerto pour cordes et clavecin en sol mineur F XI n°6 de Vivaldi