Orchestre Royal de Chambre de Wallonie :
Le Passage de Témoin
Frank Braley, nouveau Directeur musical de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie dès 2014
Augustin Dumay, Premier Chef invité jusque fin 2015
« Le grand public ne le sait pas toujours, mais la Belgique possède plusieurs orchestres et ensembles classiques de niveau international. Parmi eux figure l’Orchestre de chambre de Wallonie qui s’est imposé en dix ans sur les scènes du monde entier sous la direction d’Augustin Dumay, l’un des plus grands violonistes de notre époque. Il cèdera bientôt la place à Frank Braley.
L’orchestre installé depuis sa création à Mons va bientôt changer de chef. Augustin Dumay cédera la baguette à Frank Braley. Ce pianiste français, 1er lauréat du concours Reine Elisabeth en 1991 prendra la direction de l’Orchestre de chambre de Wallonie au début 2014. Avec des nouveautés en perspectives.
Après dix ans à la tête de l’orchestre de Chambre de Wallonie, Augustin Dymay accueille Frank Braley, son ami et futur successeur avec joie. Cet immense violoniste pourra lui céder la baguette sans regret, lui qui a hissé cet orchestre à un niveau inespéré.
« Ce dont je suis heureux est d’avoir pu amener l’orchestre dans un certain nombre de centres internationaux dans lesquels il n’avait jamais pu al/er. De l’avoir fait exister au niveau international. C’est un grand plaisir d’avoir pu les prendre par la main et les emmener dans tous ces centres-Ià ».
Frank Braley héritera pour sa part d’un ensemble qu’il connaît déjà très bien: « II y a tout le travail de 10 années qu’Augustin a apporté en terme de style, de culture et de son. Car c’est un orchestre qui a un son et qui se place au niveau des meilleurs ensembles européens, On va explorer un répertoire immense et même en musique de chambre, en groupe plus réduits. j’espère aussi les emmener sur d’autres terrains. Que ce soit de la pop, de l’électro des chorégraphes ».
Avec toujours la même vocation : faire apprécier au plus grand nombre la musique classique. Les deux hommes se retrouvaient déjà ce samedi soir au Théâtre Royal de Mons pour un concert exceptionnel autour de Mozart, organisé par Musique 3 et l’Orchestre de chambre de Wallonie au profit de l’opération CAP4B.
Thierry Vangulick pour la RTBF, 22 décembre 2012
Mozart par Augustin Dumay / Une exquise complicité
L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie triomphait dimanche soir à la basilique. Mené de main de maître par un Augustin Dumay en grande forme, il a subjugué le public qui ne s’attendait pas à tant de splendeurs. Certes, le programme y était pour beaucoup : d’abord l’admirable Romance pour violon et orchestre de Dvorak… Mozart ensuite avec son Concerto pour violon KV 216 et la 29e symphonie KV 201.
Là, l’éblouissement fut complet ! Le concerto, svelte, incisif, turbulent et drôle par instants, nous révélait le Mozart épuré de ses rondeurs excessives, le Mozart que des maîtres tels qu’Harnoncourt, Immerseel ou Gardiner ont totalement redessiné. Le soliste – et chef – s’intégrait avec une évidente complicité dans le jeu orchestral sans jamais jouer au virtuose ni chercher à dominer.
Pourtant, quelle précision ! Quelle somptueuse cadence à la fin de l’allegro moderato ! Le rondo final d’où jaillissait le fripon Quolibet strasbourgeois dans un tempo imprévu, apportait les rayons de soleil que le ciel refusait obstinément…La symphonie en La majeur, racée, dynamique, dramatique à souhait, peignait un portrait fidèle d’un Mozart de 18 ans… qui avait déjà dépassé les furieuses humeurs du Sturm und Drang. Superbe élocution du thème initial avec son délicat vibrato d’archet, remarquable tenue de l’andante qui progressait rondement mais « cantabile », menuet frétillant et idéalement dansant, finale endiablé d’une étincelante précision. Cela nous rappelait l’excellence d' »Anima Eterna » l’an passé. C’est dire !
En bis, A. Dumay et l’Orchestre de Wallonie donnaient un fragment de « l’Arlésienne » à la mémoire de Brigitte Engerer. Somptueux ! (Lire l’article)
L’Union – L’Ardennais (France), F. A., 27 juin 2012
Flâneries Musicales de Reims, 24 juin 2012
Mozart Sourire
« Le plus ancien orchestre de chambre de Belgique, frappé du sceau royal, bénéficie depuis 2003, de la dynamique et de la renommée de son Directeur musical et Chef principal, Augustin Dumay. Ses riches sonorités, chaleureuses et opulentes, confèrent à la Symphonie n° 29, en la majeur, occupant toute la seconde partie de la soirée, un attrait tout particulier. La direction d’Augustin Dumay fouille cette partition de jeunesse avec une vitalité, une vigueur et un sens aigu des nuances. Il en souligne en particulier les contrastes dynamiques, ménageant ici ou là un crescendo ou un diminuendo expressifs. Il joue avec esprit sur les échos et les échanges entre pupitres, les vents, cors et hautbois, jetant quelques beaux défis aux cordes (…) La belle opulence sonore de l’orchestre trouve en Augustin Dumay un chef volontaire, mais aussi un soliste au timbre solaire et à la technique parfaite (…)
Classic Toulouse / Grands interprètes, Serge Chauzy, 22 juin 2012Fête de la Musique, Toulouse, Halle aux grains, 22 juin 2012
« Les Pendus » – « De Gehangenen » / Théâtre musical
5 pays. 25 représentations.
« Requiem pour une pensée Libre » (Le Soir et La Libre)
Concept : Josse De Pauw & Jan Kuijken / LOD Production
Une création de LOD production (Gand), « De gehangenen – Les pendus », dans laquelle l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie participe activement. Cinq partenaires de pays différents se sont associés à cette production internationale: le Koninkelijke Vlaamse Schouwburg (KVS), le Théâtre National de Bruxelles, le Grand Théâtre de Luxembourg, Le Maillon Strasbourg, Kunst Fest Spiele Herrenhausen (Hanovre), Vocaal LAB Nederland et l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie.
Les pendus, ce sont les incroyants qui se refusent à l’évidence et osent poser des questions à voix haute. Ils ne peuvent se résigner à ce qui est déjà connu ou ce qui est écrit. Ils s’investissent dans leurs recherches pour assouvir leur propre soif de connaissance. Nul ne reconnaît leurs efforts. Souvent, ils doivent payer de leur vie leur curiosité. Les musiciens de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie ont porté à la scène une composition de Jan Kuijken. Un récit musical où les tensions naissent de l’interaction entre l’orchestre, les acteurs, les chanteurs, et les enregistrements vocaux et sonores. Deux acteurs et trois chanteurs sont suspendus au-dessus des musiciens. Josse De Pauw a écrit pour eux une partie récitée et une partie chantée. Ce spectacle rend hommage à tous ces visionnaires bien pensants qui, en raison de leurs convictions, ont été pendus, martyrisés, brûlés ou enfermés et tente d’apporter les éléments de réponse à la question : « Serai-je pendu si je pense ? ».
« Un spectacle beau, cruel et bouleversant… ponctué d’humour, dans un époustouflant travail de lumières… Superbe ! ».
Le Soir — Michèle Friche, 04.05.2011
« J’ai vu une personne pleurer d’émotion. J’ai vu beaucoup de personnes se lever pour ovationner le spectacle, ce qui est plutôt rare lors d’une première. Cela veut dire qu’il s’est passé quelque chose. »
De Morgen — 02.05.2011
La splendeur de ce spectacle tire son éclat d’interprétation de la musique par l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, dirigé par Etienne Siebens. Il est rare de rencontre un tel équilibre entre le jeu, le chant et la musique. Ce spectacle donne matière à réflexion. Mais qui l’écoute bien ressent un plaisir équivalant à entendre une excellente exécution d’une passion ou d’un requiem. Le mérite en revient à Jan Kuijken. Mais le père spirituel du concept est et demeure Josse De Pauw. Il s’attaque avec tant d’intensité et de bonheur au concept de base, qu’en partant d’un doute il trouve une vérité qui ne tue pas la pertinence de la culture romaine, mais la blesse. Il est à la fois poète et historien.
Knack — 02.05.2011
Les Pendus est un momento mori dédié à tous ceux qui ont péri pour avoir eu des opinions à contre-courant. Josse De Pauw a opté pour une forme imposante, mais le texte domine l’ensemble.
De Standaard — 02.05.2011
Josse De Pauw livre un spectacle magnifique. (…) L’humour est une des armes faisant passer ce vibrant plaidoyer pour la liberté. (…) Ces pendus cernés d’une étrange lumière trouent les cieux noirs. La magie de l’image, du son, suspend notre souffle: poésie et cruauté superposées, spectacle et philosophie mêlés. (..) Rien d’austère là-dedans, la philosophie selon la très belle écriture de Josse De Pauw (également metteur en scène) vole dans les cimes, les pieds ancrés dans l’humour de la terre. (…) Les Pendus sont un nouvel acte de foi dans la tolérance, l’union des communautés et la défense de la liberté de pensée qui prend toute sa valeur dans les temps qui courent.
Le Soir — 03.05.2011
Les Pendus de Josse De Pauw, très beau mini-opéra sur le danger de penser. (…) Dès l’entame, l’image est forte, obsédante. (…) Le texte de Josse De Pauw est plein de chaleur et parle de nature, de sensualité, autant que de la nécessité de penser et de chercher. (…) Exemplaire de rhétorique et de sensualité, la partie vocale colle au texte, tenue par trois chanteurs (pendus, eux-aussi) aux timbres corsés, Janneke Daalderop, Soprano, Ekaterina Levental, mezzo, et Steven van Gils, ténor, et la voix ‘d’enfant’ off, de Lidewei Loot, révélation du casting.
La Libre Belgique — 03.05.2011
Autant par les voix splendides des soprano Janneke Daalderop, mezzo soprano Ekaterina Levental, ténor Steven van Gils et la tendre voix d’enfant si poignante de Lidewei Loot, autant par la partition inspirée de Jan Kuijken jouée tout en finesse par l’Orchestre de Chambre de Wallonie, ensemble de cordes sous la direction d’Etienne Siebens, autant par, en contraste, le soliste Jan Kuijken lui-même et son violoncelle véhément sur une bande-son inquiétante, autant par le jeu performant des acteurs Hilde Van Mieghem et Tom Jansen, autant par l’inventivité des effets lumineux d’Enrico Bagnoli… tout, absolument tout, concourt à faire de ce spectacle un des plus magistraux du duo concepteur Kuijken-de Pauw, celui-ci signant la mise en scène. Admirable.
Rue Du Théatre — 06.05.2011
Un moment de grâce absolu
Trente ans de piano à La Roque-d’Anthéron – Un des plus grands festivals de piano en Europe
Cette édition anniversaire (30 ans) fut marquée par un moment de grâce absolu : l’Orchestre royal de chambre de Walonnie dirigé par Augustin Dumay avec Maria Joao Pires en soliste. Programme Mozart avec le Concerto pour violon n° 5 en ouverture – Dumay sublime de liberté et de poésie, l’orchestre précis et enthousiaste.
Dans le Concerto « Jeunehomme », Maria João Pires bouleverse l’auditoire tant elle incarne la musique. Des gradins combles, pas un bruit ne vient ternir un second mouvement en apesanteur. Le miracle est total.
« La Lettre du Musicien », Olivier Duchesne, 13/09/2010
Festival de piano de La Roque d’Anthéron, concert Mozart, 5 août 2010
« Ce soir à 19 h, un des plus prestigieux ensemble d’Europe, l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, donne un concert Mozart extraordinaire au Romanian Atheneum ».
Nine o’clock (Bucharest), Costin Tuchila, 21 décembre 2006
Concert au Romanian Athenaeum de Bucharest
« C’est un événement particulier, exceptionnel. L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie a joué deux soirs au festival de musique de Pékin. L’événement est de taile. Les invités du festival de Pékin sont soigneusement triés parmi les meilleurs du monde. La sélection est sévère et nombreux orchestres restent sur le carreau malgré les demandes répétées. Exceptionnelle, la prestation de l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie le fût également à cause du cadre où elle a eu lieu. La salle de concert de la Cité interdite compte en effet parmi les meilleures du continent asiatique (…) Exceptionnelle, la prestation de l’ORCW le fut enfin pour le programme qui fut proposé. Si le lundi, l’orchestre wallon a livré un répertoire somme toute assez classique, consacré exclusivement à Mozart, la veille, il avait fusionné avec l’Orchestre Philharmonique de Chine pour exécuter une prestation polychrome sans faille sous la direction du chef d’orchestre Long Yu (…) Le mélange des genres et des cultures s’est fait presque naturellement, sans fausse note. Ce qui tient de la performance quasi physique : les deux orchestres n’ont eu que deux jours pour accorder leurs violons, les musiciens belges devant en outre digérer les 6 heures de décalage horaire qui séparent les deux pays ». Lire l’article
La Libre Belgique, Vincent Rocour, 24 octobre 2006
Festival de Pékin
« C’est la première fois qu’un orchestre belge est invité à ce rendez-vous qu’honore d’habitude le Philharmonique de Vienne ou la Scala de Milan. Dans une splendide salle de concert au coeur de la très symbolique Cité interdite. Augustin Dumay a voulu une véritable rencontre entre deux cultures : les musiciens sont mêlés, les gestes, synchrones, comme s’ils avaient toujours répété ensemble ». Lire l’article
Le Soir, Frédéric Soumois, 24 octobre 2006
Festival de Pékin
« Soirée exceptionnelle, ce dimanche soir à Pékin. La Cité interdite accueillait l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie devant trois ministres francophones ! (…) Il faut savoir, en effet, que cette immense résidence de la famille impériale, installée au coeur même de la ville, abrite depuis plus de 60 ans un hall de concert à l’acoustique extraordinaire. Et chaque année, le festival de Pékin, organisé en octobre, y invite les orchestres internationaux les plus renommés (…) Coup de chapeau, donc, à l’Orchestre de Chambre qui, à son tour, porte loin la renommée musicale de la Région. On peut d’ailleurs souligner que le concert d’hier soir, joué devant plus e 1200 personnes, a remporté un gros succès. Et qu’il se pourraient que des oeuvres chinoises entrent dans le répertoire de l’orchestre ou soient, en tout cas, prochainement proposées chez nous ». [lire l’article]
Vers l’Avenir, Marie-France GIHOUSSE, 23 octobre 2006
Festival de Pékin
« Peu d’orchestres internationaux ont la chance de jouer dans la salle de concert de la célèbre Cité Interdite à Pékin. Ses portes se ouvertes à la Scala de Milan, au Philharmonique de Vienne ou à l’Opéra de Berlin. L’Orchestre de Chambre vient d’y ajouter son nom en lettres d’or ce week-end. Mieux, il a partagé la scène dans un concert mixte avec l’Orchestre Philharmonique de Chine !
Ce fut un grand moment pour le chef de l’ORCW, Augustin Dumay, qui se produisait au violon, mais aussi pour ses musiciens, dispersés dimanche dans un cadre mythique, au sein du Philharmonique de Chine. Le public a véritablement ovationné l’ensemble après une prestation éclectique ». Lire l’article
La Province, M. R., 24 octobre 2006
Festival de Pékin
« ORCW : l’accomplissement (…) Il ne s’agit plus de parler de « progrès » mais de « niveau » – international en l’occurrence -, soutenu par des musiciens de première valeur, totalement engagés (…) Le moment le plus intense, et accueilli par le public avec la plus grande reconnaissance, fut indéniablement la symphonie n°29, première « grande » symphonie de Mozart, dont l’orchestre – toujours mené par ce grand escogriffe de Dumay – offrit une version idéale de maîtrise, de vitalité et de simplicité (le maître mot) ». Lire l’article
La Libre Belgique, Martine Dumont-Mergeay, 4 octobre 2006
Concerts « Mozart » avec Maria Joao Pires, Ricardo Castro et Augustin Dumay au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, à Eindhoven et au Théâtre des Champs-Élysées à Paris
« La fantastique pianiste portugaise Maria Joao Pires est une personnalité musicale qui a conquis le cœur du monde (…) Le violoniste Augustin Dumay fait également partie des plus grands. Tout comme Pires, il joue de l’intérieur avec un énorme « cadre musical », une formidable tonalité, et un charisme qui nous met hors de souffle (…) Il dirige également un des plus anciens orchestres belges, l’estimable « Orchestre Royal de Chambre de Wallonie », qui sous son impulsion produit une merveilleuse palette de couleurs (…)
Quel violoniste magistral, largement au-dessus de la partition, sublime de son, de pureté et d’expression (…) et cette parfaite intégration du soliste avec son ensemble, si intensément entremêlé, une union parfaite dans une architecture complexe, comme Mozart l’avait imaginé. Brillant (…) Quelle incommensurable profondeur et quelle intensité de tous les musiciens sur la scène, imposant ! ». Lire l’article
Eindhoven Dayblad, Cornelie Hoendervanger, 22 septembre 2006
Concerts « Mozart » avec Maria Joao Pires, Ricardo Castro et Augustin Dumay au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, à Eindhoven et au Théâtre des Champs-Élysées à Paris
« Un orchestre de qualité réuni autour d’un grand chef, Augustin Dumay. Un orchestre qui prend le monde comme chambre. Menton, Montpellier, Paris et Pékin bientôt. L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie joue sur les grandes scènes (…) Ses prestations sont de plus en plus convoitées par des événements musicaux de premier choix (…) Tous ces rendez-vous musicaux ont attiré 36.000 personnes. L’ORCW s’exporte bien mais son ancrage dans sa région d’implantation ne faiblit pas pour autant. Un quart de ses prestations se sont déroulées à Mons ». Lire l’article
Le Soir, Franca Rossi, 28/07/2006
« L’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie est plein d’allant, moderne avec une touche de charme, comme une vision d’antan devenue intemporelle ».
Midi Libre, 22/07/2006
Festival de Montpellier
« Augustin Dumay a profondément marqué le public qui a suivi les concerts d’été donnés au Concertgebouw d’Amsterdam (…) Avec Augustin Dumay au premier pupitre, les membres de l’orchestre sont parvenus à produire un beau jeu d’ensemble, aussi fusionnel que nuancé”.
De Telegraaf, 26/07/2005
Concert au Concertgebouw (Amsterdam) du 24/07/2005
“Pour commencer, le Quintette en sol KV 516 de Mozart, duquel Dumay et quatre musiciens de l’orchestre firent une interprétation joyeuse et en toute sensibilité. Dans le Poème d’Ernest Chausson, où soliste et orchestre se répondaient pour finalement se rejoindre dans des harmonies fondantes et frémissantes, Dumay soutenait par des arcs-boutants parfaitement modelés, un discours en constante évolution. Dans le phrasé mordant et heurtant qui ouvre le Tzigane de Ravel, Dumay a prouvé qu’il savait aussi faire parler son violon. Cette ultime musique bohémienne lui donna l’opportunité de briller dans les octaves massives, d’entraîner l’orchestre vers des hauteurs gazouillantes et stridentes, de pétrir le tempo comme s’il s’agissait d’argile de modelage”.
De Volkskrant, 26/07/2005
Concert au Concertgebouw (Amsterdam) du 24/07/2005
“Dernier jour, derniers tours. Hommage à l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie (…) Le président remerciera chaleureusement l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et Paul Goodwin pour leur contribution à cette semaine décisive. Standing ovation du jury”.
La Libre Belgique, Nicolas Blanmont et Martine Dumont-Mergeay, 17/05/2005
Concours Musical International Reine Elisabeth de Belgique 2005 (violon)
“Et terminons sur un applaudissement pour l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie qui s’est donné une belle constance, a retrouvé de l’enthousiasme et un sens de la précision. Grâce à Paul Goodwin, son chef pour ce marathon et à Augustin Dumay, son directeur musical”.
Le Soir, Michel Debrocq, 17/05/2005
Concours Musical International Reine Elisabeth de Belgique 2005 (violon)
“(…) de la façon dont Paul Goodwin dirige l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie, on n’est pas prêt de s’en lasser : accentuations nettes, tempi vifs mais sans excès, vents sonores (et sûrs), caractérisation parfaite de chaque mouvement (superbe interruption turque dans le rondeau du la majeur), c’est un véritable bond qualitatif”.
La Libre Belgique, Nicolas Blanmont, 10/05/2005
Concours Musical International Reine Elisabeth de Belgique 2005 (violon)
“Dans l’environnement idéal offert par l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie…“
La Libre Belgique, Nicolas Blanmont, 11/05/2005
Concours Musical International Reine Elisabeth de Belgique 2005 (violon)
“Paris, Maison de Radio France. Giovanni Bellucci, piano. Orchestre Royal de Chambre de Wallonie et Augustin Dumay, violon et direction. (…) la formation belge a fort opportunément marqué sa venue à Paris“.
Simon Corley, février 2005
Paris, Maison de Radio France, février 2005
“L’Orchestre de Chambre international et… montois. (…) le violoniste Augustin Dumay, en tant que chef principal de l’Orchestre Royal de chambre de Wallonie, travaille à la reconnaissance internationale de la formation implantée à Mons. Ses prestations dans des hauts lieux de culture comme Amsterdam ou le Festival de Menton, retransmis par plus de 180 stations de radio américaines ont été le fruit d’un travail d’exigence. Ce rayonnement international, l’Orchestre veut en faire profiter les Montois (…) Cet été, a été lancé, en plein air et au centre ville, le festival « Côté cour, côté jardin » (…) Outre la grande accessibilité à tous les publics, il mise sur la collaboration entre les jeunes musiciens du Conservatoire de Mons et ceux de l’orchestre. Augustin Dumay étant un des responsables de la Chapelle Reine Elisabeth, ces musiciens de haut niveau rejoindront le festival“.
Le Soir, Claire Bortolin, 06 et 07/11/2004
« Augustin Dumay signe un nouvel élan, en termes d’exigence et de notoriété : entraînement technique intensif, collaboration élective avec le prestigieux quintette Moraguès, engagements internationaux, politique de présence sur le terrain. (…) Dont acte, l’orchestre et son nouveau chef ont déjà donné, en guise de promesse, un bijou de concert”.
Le Vif l’Express, Martine Dumont-Mergeay, 09/2003
“Augustin Dumay, un nouvel enchanteur. Il a déjà résumé ses objectifs, à commencer par l’élargissement du répertoire et le travail en petite formation. (…) Tout fut précis, chatoyant et chantant : d’une remarquable cohérence et de cette grande élégance qu’Augustin Dumay transfuse à ses pairs (…) s’autorisant des moments d’émotion d’une exceptionnelle intériorité.”
Le Soir, Xavier Flament, 12/2003
« On admire l’engagement, la vigueur et la conviction de leur lecture commune (…) On sent un réel plaisir de faire de la musique ensemble (…) Dumay sait produire avec eux un son très cohérent, et on admirera plus d’une fois la netteté des attaques. ”
La Libre Belgique, Nicolas Blanmont, 12/2003
“Les Deux Interludes de Jacques Ibert ont donné lieu à un moment musical empreint d’une grande expressivité grâce à la qualité des interprètes. (…) L’orchestre a véritablement montré toute l’étendue de son talent, son souci des nuances, sa belle harmonie et son goût pour le jeu des éléments expressifs et dramatiques, des voix et des accents. Sans oublier les magnifiques dialogues entre violon, violoncelle et alto.”
Espagne, La Vanguardia, Jorge De Persia
“L’art dans toute sa splendeur. (…) L’orchestre a suscité un enchantement sonore des plus subtils. (…) Les musiciens belges ont interprété la Symphonie pour orchestre à cordes de Félix Mendelssohn-Bartholdy avec une discipline remarquable et une sonorité superbe.”
Allemagne, Nordbayerischer, Bayreuth, Hans Joachim Bauer
“Passons au concerto grosso d’Arcangelo Corelli Per la notte di natale, dont l’orchestre de chambre nous a proposé une interprétation époustouflante, loin de toute routine.”
Allemagne, Siburinwilder Bobe, Rottweil, Martina Holbein
“Saluons la performance fournie par l’Orchestre Royal de Chambre de Wallonie : en un temps minimal de répétition, celui-ci est parvenu à offrir aux candidats cette colonne vertébrale solide sur laquelle ils pouvaient s’appuyer, tout en s’adaptant avec le plus de souplesse possible aux différentes personnalités de chacun d’entre eux…”
Le Soir, Michel Debrocq
Concours Musical International Reine Elisabeth de Belgique
“L’orchestre y fut de haute tenue : dynamisme, justesse, clarté des attaques et des articulations, y compris dans les vents…”
La Libre Belgique, Martine Dumont-Mergeay
“Quel bonheur de passer ensuite à Honegger et à Britten. Ici, les phrasés sont longs et expressifs. Ils conviennent à merveille à la personnalité lyrique et sensuelle de l’orchestre… Le chef gardait cependant le meilleur pour la fin : le vaste “Prélude et fugue” de Lutoslawski. Des pizzicati sauvages entrechoquent d’interminables glissandi d’angoisse. La fugue éclate mais sans perdre sa respiration souveraine… Le travail exceptionnel des timbres va jusqu’à désincarner les traits ou les habiller d’étranges couleurs lunaires. Superbe !”
Le Soir, Xavier Flament
“L’ensemble plaît par sa cohésion et un style irréprochable et donne une exécution vive et colorée. Le violon solo s’exprime avec une rare élégance. L’ensemble belge joue le célèbre concerto avec vitalité et une beauté sonore inouïe. Le public exulte ! (…) Jean-François Chamberlan trouve le ton juste, tisse de somptueuses broderies et exprime d’un archet volubile et expressif des sentiments d’une poignante générosité. Parfaitement soutenus par ses collègues de l’orchestre, attentifs et coopératifs, l’interprète se livre entièrement et recueille de longs applaudissements”
Suisse, La Presse Riviera Chablais, Jean Cossetto
Concerto pour cordes et clavecin en sol mineur F XI n°6 de Vivaldi